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Pétitions AID 2020-09

Période jusqu’au samedi 06 Juin 2020

samedi 23 mai 2020, par JMT

Nous vous suggérons de suivre :

a) les pétitions du site CYBERACTEURS avec qui nous sommes en contact depuis plus de 19 ans, pour adhérer ou faire un don . Voir la vidéo de l’AG 2018

b) les pétitions du site AVAAZ qui à l’usage s’est avéré plus ouvert que ne le laissaient supposer ses bailleurs de fonds US initiaux. Allez sur les sites et inscrivez-vous pour signer plus facilement les pétitions quand vous en recevez l’avis directement par mél

c) les autres textes à signer particulièrement recommandés se trouvent ci-après :

* SOMMAIRE

- Dernière heure :
* GIRI YAMA et AID pour le HOBBIT BAR

- Les pétitions nouvelles

- Collectes de dons (soutenues par AID)

voir l’interview de Delia Buonomo par JMT et les propositions de relance dans les newsletters 2019

- Initiatives Citoyennes Européennes (en cours pour signature)

- Les pétitions en cours

- Les pétitions stagnantes

- Les pétitions vouées à disparaître

- Les pétitions fermées
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* DERNIERE HEURE :

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* AID et GIRY YAMA s’associent pour aider le HOBBIT BAR de Vintimille

L’Association GIRI YAMA de Tende (06430) apporte depuis 15ans une aide en nature et en argent à des écoles,d’abord au Mali, puis depuis la guerre au Sahel, au Burkina Faso. D’autres projets sont envisageables pour le soutien aux femmes et aux enfants . AID lui a proposé un soutien technique pour développer ses activités en recherchant des donateurs imposables intéressés à soutenir ces actions.
Mais GIRY YAMA ne peut être insensible à la détresse des migrants, dont certains viennent d’Afrique de l’ouest, qui se retrouvent à Vintimille, tentant de franchir la frontière française à une dizaine de kilomètres d’où ils sont durement refoulés et renvoyés en centre ville de Vintimille. Là où il n’existe plus guère qu’un lieu accueillant, notamment pour les femmes et enfants, le bar Le Hobbit situé près de la gare ferroviaire par où souvent les migrants arrivent, bar tenu par Delia Buonommo, surnommée par eux "Mama Africa"..

Boycotté par les clients de Vintimille, le bar ne tourne plus que par les migrants et par les militants associatifs qui y vont chaque fois qu’ils le peuvent. Malheureusement cela ne couvre plus les frais fixes et il faut donc trouver 2000€ par mois. Le challenge entre GIRI YAMA et AID est de faire en sorte que GIRI YAMA récolte 2000€ par mois pour en reverser 1000€ sur le crowdfunding pour Delia (ainsi chacun peut suivre en ligne sur le site du crowdfunding https://www.gofundme.com/f/solidarieta-per-delia)

Donc si vous êtes imposables, merci de faire un virement sur le compte bancaire de GIRI YAMA et de signaler votre virement avec vos coordonnées pour le reçu-don à jean-marc.tagliaferri@wanadoo.fr
IBAN : FR76 1910 6006 2543 5148 5308 946 Code BIC : AGRIFRPP891
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* (C) Pétition - Coronavirus : M. Macron sauvez des vies, prenez vos responsabilités

6.523 signatures sur 20.000 lien pour signer

Monsieur Macron, la crise du coronavirus que nous traversons est inédite. Vous avez déclaré que nous étions en guerre. Une guerre dans laquelle nous avons tous la responsabilité de nous battre. Vous en appelez à notre civisme, à notre responsabilité individuelle en nous dictant des consignes pour seule protection  :

Pour vous protéger et protéger les autres

  • Portez un masque : parce que les masques que vous nous conseillez de porter ne sont pas gratuits, de nombreuses personnes n’y ont pas accès et notamment les plus précarisées. Si elles ne peuvent pas en porter, elles sont de fait plus exposées au risque de contamination et elles exposent les autres.
  • Lavez-vous les mains : pour pouvoir appliquer ce geste barrière, il faut avoir accès à l’eau courante. En France, plus d’un million de personnes en sont privées au quotidien.
  • Lorsque vous êtes malade, restez chez vous : parce qu’il est pratiquement impossible pour une personne vivant à la rue ou dans un logement précaire de se confiner lorsqu’elle est infectée, elle court le risque de contaminer son entourage.
  • Faites-vous soigner : p arce que les plus précarisés d’entre nous sont souvent stigmatisés, parce qu’ils n’ont pas d’assurance maladie et pas d’argent pour payer leurs frais de santé, ils sont parfois dans l’incapacité de se faire soigner.
    M. Macron, votre gouvernement doit être la première barrière au coronavirus

Aujourd’hui nous ne sommes pas tous égaux devant la santé monsieur Macron. Pour que nous puissions tous appliquer ces gestes qui sauvent, prenez vos responsabilités :

  • Délivrez à tous des masques et des tests gratuits : des masques doivent être distribués à tous pour les déplacements publics et l’accès effectif et sans contraintes aux tests doit être garanti. 
  • Donnez accès à l’eau et à l’hygiène pour tous : un accès à l’eau devrait être accessible sur tous les lieux de vie, y compris les lieux informels comme les squats, bidonvilles et campements, en quantité suffisante pour couvrir les besoins (60 litres par jour et par personne en période d’épidémie).  Des tarifications adaptées doivent être mises en place pour les services d’eau (gratuité, tarif social ou progressif sur les factures d’eau pour les ménages vulnérables).
  • Mettez à la disposition de tous un hébergement où se confiner : des solutions d’hébergement pérennes et immédiates doivent être mises en place pour toutes les personnes sans domicile ou en logement très précaire. Il faut accélérer et renforcer le plan de résorption des bidonvilles.
  • Garantissez à tous un accès gratuit aux soins : nous demandons la création d’une couverture santé universelle et la fin des mesures restrictives qui entravent l’accès aux soins des personnes exilées en situation de précarité. La santé est un droit universel. Signez pour que tout le monde puisse se protéger et être soigné du Coronavirus.

* (C) Pétition : Pour le retour de la production des médicaments et principes actifs en France

11.137 signatures lien pour signer

Adressé à : Edouard Philippe, Premier Ministre et Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé.

La pandémie en cours de Covid-19 a fait émerger un problème sanitaire qui menaçait l’Europe en silence depuis longtemps : la délocalisation de l’industrie pharmaceutique. La France et l’Europe possèdent des groupes industriels pharmaceutiques puissants et compétents mais elles sont loin d’être autonomes sur le plan sanitaire. D’après le Leem (l’organisation professionnelle des entreprises du médicament en France), beaucoup trop de médicaments sont fabriqués hors de l’Europe. 22 % des médicaments vendus sur prescription médicale et 50 % des médicaments vendus sans prescription sont produits en France ! En raison de leur faible prix de vente, la majorité de ces produits sont fabriqués en Asie où la main d’oeuvre est payée avec des salaires de misère.

La fabrication des principes actifs, encore pire ! Lorsqu’on dit que des médicaments sont fabriqués, on ne parle en fait que de la mise en forme pharmaceutique, c’est à dire la préparation des cachets, sirops, gélules ou autres formes pharmaceutiques. Mais le plus souvent, on importe le principe actif. La fabrication du principe actif se fait dans 80 % des cas en Asie, où l’Inde et la Chine se partagent le marché. ( 2/3 en Chine, 1/3 en Inde).

Qui est impacté ? Le pire dans l’histoire, c’est que ce sont les médicaments vendus à bas prix qui se sont le plus touchés par cette dérive sanitaire. Les médicaments génériques sont au premier plan. Or, 95 % des antibiotiques sont des génériques. Mais pas seulement les antibiotiques. C’est vrai aussi pour des traitements contre l’hypertension, le diabète, ainsi que certaines chimiothérapies.
Les groupes pharmaceutiques français sont désireux de fabriquer en France au lieu d’importer, mais du fait du faible prix de vente de ces médicaments, ils demandent le soutien de l’État.

Crise sanitaire ? On y est ! Ce n’est pas seulement une question d’emploi ou de leadership entrepreneurial, c’est surtout un problème de dépendance à l’Asie. Lorsque la Chine s’est trouvée en quarantaine à cause de la pandémie de Coronavirus, l’industrie pharmaceutique chinoise s’est arrêtée elle aussi. Et l’Occident a réussi à faire face grâce à ses stocks. Mais ceux-ci ont évidemment beaucoup diminué. Maintenant, c’est l’Inde qui est en quarantaine. Combien de temps ? Personne ne le sait. Les stocks vont-ils suffire ? Personne ne le sait. S’ils disparaissent comment va-t-on se procurer ces médicaments ? L’Europe est dépendante de l’Asie sur le plan pharmaceutique ! C’est inadmissible ! Il faut relocaliser !

Monsieur Édouard Philippe, Monsieur Olivier Véran, nous vous demandons de donner aux entreprises pharmaceutiques françaises les moyens nécessaires pour que la fabrication des médicaments et des principes actifs dont nous avons besoin pour nous soigner soit réalisée sur notre territoire.Il ne s’agit pas d’une requête à but nationaliste mais simplement du bon sens en matière de santé.

Merci de signer, de faire signer et de faire circuler cette pétition. Faites-le pour vous, pour vos parents, pour vos enfants, pour vos amis, pour vos proches.

* (C) Pétition : À 18 ans, les jeunes placés dans leur enfance risquent la précarité. Mobilisons-nous !

13.380 signatures lien pour signer

Auteur(s) : Daniel Barroy, Président de SOS Villages d’Enfants
Le manifeste : Alors que nous traversons une épreuve sanitaire exceptionnelle, nous mobilisons des valeurs citoyennes de responsabilité et de solidarité. Mais nous devons veiller à garder ces valeurs vives pour tous, en particulier pour aider les plus fragiles d’entre nous, qui restent vulnérables alors qu’ils sont et seront demain les acteurs de notre société. En effet, considéré comme adulte à 18 ans un jeune placé durant son enfance sort de l’aide sociale à l’enfance. Les dispositifs publics, quand ils existent, sont disparates et lacunaires. Du jour au lendemain, le jeune peut se retrouver livré à lui-même, sans ressources financières, sans logement, sans aucun accompagnement ni soutien. Comment peut-on demander à ces jeunes, déjà abîmés par une enfance difficile, d’être autonomes et responsables à 18 ans, alors qu’en France, en moyenne, un jeune quitte le domicile familial et obtient son premier CDI à 25 ans ? Pour eux, les conséquences peuvent être dramatiques. Savez-vous que plus d’1/3 des sans-abris de moins de 35 ans sont d’anciens enfants placés ?

Face à cette injustice, SOS Villages d’Enfants a lancé en 2019 son Programme Jeunes Majeurs, pour accompagner les jeunes des villages d’enfants SOS jusqu’à leur autonomie. Il y a urgence à les protéger ! Ensemble, nous pouvons leur offrir les mêmes chances de réussite que les autres. C’est pourquoi, nous avons besoin de partager notre projet et nos avancées et de mobiliser des soutiens y compris financiers. Si vous voulez être à nos côtés dans ce projet essentiel, il vous suffit de signer le manifeste et de le partager au plus grand nombre ! SOS Villages d’Enfants a besoin de vous. Aidons-les ensemble. Merci ! www.sosve.org

* (C) Pétition : BlackRock, arrêtez de financer la crise climatique !

142.903 signatures lien pour signer

Le plus grand moteur du chaos climatique sur Terre est un nom que vous avez peut-être découvert lors des derniers scandales politiques en date : BlackRock. BlackRock est un géant de Wall Street qui a investi des milliards de dollars dans les industries polluantes qui accélèrent l’effondrement climatique. Il est le premier investisseur mondial dans les énergies fossiles, y compris les nouvelles centrales à charbon, et constitue un obstacle majeur entre nous et une planète en bonne santé et habitable.

Mais grâce à la pression croissante de militants du monde entier, le PDG de BlackRock, Larry Fink, a finalement publié une lettre affirmant qu’il allait agir en faveur du climat. Cette lettre a provoqué une onde de choc dans le monde des affaires. Mais depuis cette lettre, quasiment rien a suivi. En bref, on dirait bien que cette grande annonce de BlackRock sur le climat est retombée comme un soufflé. La réunion annuelle de BlackRock a lieu dans moins d’une semaine, et il est temps de faire pression pour que les 6 000 milliards de dollars d’actifs de BlackRock deviennent notre meilleure arme dans la lutte contre le bouleversement climatique : Dites au PDG de BlackRock, Larry Fink, de joindre l’acte à la parole et de prendre des mesures concrètes pour lutter contre la crise climatique.

C’est pourtant simple : les investissements de BlackRock sont en train de tuer la planète. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes. Les placements du géant financier dans l’industrie des énergies fossiles représentent 30% de la totalité des émissions carbone liées aux énergies fossiles depuis 2017. La bonne nouvelle, c’est que nous avons déjà affronté BlackRock et que nous avons gagné. L’année dernière, sous la pression de notre communauté SumOfUs et de nos partenaires locaux, BlackRock s’est séparé d’une société minière érythréenne qui recourt au travail forcé. Il y a quelques mois, Larry Fink a publié cette lettre inattendue sur la nécessité de transformer l’industrie financière face à l’urgence climatique : il est clair que nous pouvons gagner ce combat. Mais uniquement si nous maintenons la pression.

Avant la grande réunion annuelle des actionnaires de BlackRock la semaine prochaine, nous devons exiger du PDG de BlackRock qu’il concrétise ses paroles et prenne des mesures courageuses en faveur du climat, avant qu’il ne soit trop tard. Pouvez-vous ajouter votre nom dès maintenant pour faire pression sur BlackRock afin qu’il se retire des entreprises qui sont à l’origine de la crise climatique, avant que nous atteignons le point de non-retour ?

* (C) Pétition : Non au carnet de santé greffé sous la peau !

93.977 signatures sur 150.000 lien pour signer

Adressée à : Emmanuel Macron - Président de la République, Agnès Buzyn - Ministre de la santé et des solidarités, Richard Ferrand - Président de l’Assemblée Nationale Française, Laurent Fabius - Président du Conseil Constitutionnel

Considérant qu’il est du devoir du devoir de l’Etat français et des représentants du peuple de protéger les français contre l’arbitraire et les atteintes à leur liberté et à leur dignité,
Considérant que ce devoir est consacré par la Constitution, par la longue tradition de protection des droits et libertés de notre démocratie, poursuivie et complétée aujourd’hui par nos tribunaux et le Conseil Constitutionnel,
Considérant, selon l’article 16 du code civil, que la “loi assure la primauté de la personne, interdit tout atteinte à la dignité de celle-ci” et par ailleurs que “chacun à droit au respect de son corps,”
Considérant enfin que le consentement est un élément fondamental avant toute expérimentation thérapeutique pour les citoyens français comme pour les citoyens hors de France,

nous vous demandons :

1/ de faire interdire en France, par mesure de précaution, le carnet de santé sous la peau qui par nature est contraire aux droits et libertés fondamentales des citoyens cités plus haut : de même que vous avez fait interdire sur le territoire Français, l’exploitation des gaz de schistes, empêchez que vos citoyens ne se voient un jour doublement surveillés et contrôlés par des entreprises privées et l’Etat, à travers l’utilisation du carnet de santé sous la peau

2/ d’intervenir politiquement auprès des autorités du Bangladesh, du Malawi et du Kenya pour éviter que n’ai lieu les expérimentations sur des êtres humains du carnet de santé sous la peau, prévues par la Fondation Bill et Melinda Gates : s’il vous plaît, faites-le dès aujourd’hui. Plus tard il se sera trop tard.

Je vous remercie, Monsieur le Président de la République, Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale, Monsieur le Président du Conseil Constitutionnel, Madame la Ministre, pour l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête, et vous prie d’agréer l’expression de ma plus haute considération,

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* COLLECTES SOUTENUES PAR AID

* APPEL POUR EXARCHEIA ET POUR SOUTENIR LE QUATRIÈME FILM (AUTOMNE 2019) )

Comme les films précédents depuis des années, L’Amour et la Révolution a financé une part importante des besoins des principaux lieux et collectifs du quartier d’Exarcheia, à Athènes, et environ 70% des moyens apportés par les convois solidaires. Mais depuis la fin de la tournée du film, au terme de l’hiver, c’est terminé. Nous n’avons plus de source de financement régulière pour soutenir les lieux et collectifs. Heureusement, nous avons réussi grâce à vous à sauver de la prison plusieurs membres de Rouvikonas durant le printemps. Puis deux d’entre vous nous ont aidé à remettre à flot le fond d’urgence pour faire face aux priorités suivantes.

Aujourd’hui, la situation a changé. Suite à des élections anticipées en juillet, un nouveau gouvernement vient de se mettre en place et essaie d’entraver nos actions de résistance, de création et d’entraide. Le nouveau premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, a mis à exécution sa menace de "nettoyer Exarcheia", le quartier rebelle et solidaire d’Athènes connu pour sa concentration de squats et de lieux autogérés unique en Europe. Nous sommes depuis le début de l’été dans une lutte âpre et difficile pour la survie de cette expérience utopique qui donne à réfléchir sur notre capacité à prendre nos vies en mains.

Nous sommes en difficultés dans plusieurs lieux et collectifs, à commencer par des squats de réfugiés (comme le Notara 26) dont les stocks de nourriture pour adultes et bébés se remplissent puis se vident rapidement en raison du nombre important de personnes aidées dont certaines qui ont fui les camps bâtis en Grèce par l’Union européenne. Des centres sociaux autogérés comme le K*Vox n’avaient plus, par exemple, de porte, suite à des agressions policières répétées accompagnées du gazage des personnes se trouvant à l’intérieur, malgré l’interdiction faite par les conventions internationales (nous avons pris en charge le remplacement de cette porte et d’autres éléments indispensables à la sécurité et aux fonctions d’accueil de ces lieux). Les victimes de violences se multiplient. Les migrants disposant de papiers qui ont réussi à quitter les camps ont également besoin d’aide, etc.

Durant l’été, le collectif Anepos, à l’initiative des films et des convois solidaires, a réussi à emprunter de l’argent pour parer au plus pressé :
- achats de lait infantile et de nourriture pour les adultes et les enfants
- achats pour organiser de la fête des 4 ans du Notara 26
- remplacement de la porte détruite du K*Vox
- aide d’urgence à des réfugiés déplacés, parfois avec des bébés d’à peine deux mois
- aide aux frais de santé lourds d’un compagnon de lutte grec bien connu du mouvement
- aide au déplacement de solidaires internationaux expérimentés mais précaires (venu.es principalement de France pour soutenir les lieux et y faire bénévolement des travaux de circonstances)
- achat d’un appareil photo/vidéo de qualité pro pour un camarade grec automédia
- autres besoins matériels, bricolage et protections
- aide d’une camarade grecque très dévouée, récemment en très grande difficulté
- aide aux frais de justice pour plusieurs camarades grec.ques et migrant.es
Au total, nous avons réussi à avancer la somme de 4875 euros durant cette période très difficile.

Côté film, c’est la même chose. Les principaux collectifs et lieux d’Exarcheia nous ont sollicités pour préparer sans attendre un quatrième film en raison de l’accélération des événements. Alors que nous pensions attendre 2020, nous avons commencé subitement ce tournage au cœur de nos lieux et collectifs, aux côtés de nos compagnons de luttes et en concertation avec eux pour tout ce que nous allons vous faire découvrir dans ce film.

Vous serez dans l’envers du décor avec nous, au sein de la défense d’Exarcheia, mais ailleurs aussi du nord au sud de la Grèce, notamment pour empêcher le saccage du bien commun par des multinationales dans des zones sauvages magnifiques, et pour des surprises qui vous réjouiront. Notre idée de titre a fait immédiatement consensus parmi tous nos compagnons de luttes grecs et migrants. Ce quatrième film aura pour titre "Nous n’avons pas peur des ruines".

Cependant, tout film représente un coût et, même si les nôtres sont parmi les moins chers qui existent pour ce niveau de diffusion (à chaque fois 18700 euros), cela nécessite également un appel. Nous avons surtout besoin de 10000 euros pour débloquer certains problèmes, faciliter certains déplacements et racheter du matériel. Ces derniers temps, nous avons subi un vol de caméra dans des conditions troublantes. Notre ordinateur principal adapté à ce travail a rendu l’âme. Ajoutons que le 31 août, Yannis a été chargé par les MAT (CRS) à l’extérieur du K*Vox, côté place, qui ont essayé de lui arracher son appareil photo/vidéo reflex et qui ont finalement réussi à lui arracher le micro qu’ils ont ensuite piétiné (cf. photo des dégâts prise par notre ami photographe anglais Andrew O’Carroll).

C’est pourquoi nous faisons un appel pour 20000 euros, 10000 pour les besoins principaux à Exarcheia et 10000 pour le film en cours de préparation. Si nous pouvions dépasser la somme, cela permettrait de disposer d’un fond d’urgence plus important dans les semaines à venir, côté Exarcheia, et de créer librement, sans contraintes, avec de bien meilleurs outils et en protégeant au mieux notre travail (sauvegardes), côté film.

Merci d’avance de votre soutien (modalités possibles à la fin de ce texte).

Si vous êtes fauché.e et dans l’incapacité de nous aider financièrement, surtout ne dépensez pas le peu d’argent que vous avez. Si vous diffusez cet appel autour de vous, c’est déjà beaucoup.

Si vous fréquentez également l’affreux réseau associal Facebook, vous verrez que s’y trouve une page "Nous n’avons pas peur des ruines" que vous pourrez soutenir et partager.

Pour les autres, sachez que le site internet de "Nous n’avons pas peur des ruines" sera bientôt disponible, ainsi que l’affiche et la première bande-annonce.

Comptez sur nous. On compte sur vous. Car c’est aussi vous qui, ces dernières années, avez diversement soutenu Exarcheia, notamment à travers les convois, pour tenir bon dans l’adversité.

À très bientôt pour d’autres nouvelles,

Maud et Yannis Youlountas po/ collectif Anepos

CQFD : de toutes façons, soutenir le film, c’est également soutenir Exarcheia. Cela va de pair puisque l’une des principales vocations de nos films est de soutenir politiquement et financièrement les lieux et les collectifs, ce que nous faisons depuis toutes ces années.

POUR SOUTENIR EXARCHEIA ET LA PRÉPARATION DU 4ÈME FILM C’EST ICI

Si vous voulez soutenir nos actions à Exarcheia et/ou la préparation du 4ème film, "Nous n’avons pas peur des ruines", trois possibilités s’offrent à vous :

1) PAR VIREMENT

IBAN de ANEPOS : FR46 2004 1010 1610 8545 7L03 730
BIC : PSSTFRPPTOU

Merci de mentionner en objet du virement : Appel Exarcheia et/ou 4e film

2) PAR PAYPAL

3) PAR CHÈQUE

Ordre : ANEPOS (uniquement). N’ajoutez rien sur l’ordre, mais mentionnez au dos du chèque ou en pièce jointe : Appel Exarcheia et/ou 4e film

À envoyer à :
ANEPOS
Action Solidarité Grèce
BP 10 - 81540 SORÈZE - FRANCE

Vous pouvez aussi ajouter des messages de soutien qui seront transmis au collectif de votre choix ou à l’assemblée principale des collectifs du quartier.

Vous trouverez la suite des infos comme toujours sur mon blog : http://blogyy.net

Yannis Youlountas

voir une vidéo

NB : Si vous voulez participer via AID (et bénéficier des 66% de déduction fiscale) contactez jean-marc.tagliaferri@wanadoo.fr

Plus d’infos sur le site

* Appel à soutien financier pour Delia Buonommo et le "Bar des Migrants" de Vintimille
lien de la collecte

21/12/2019 : 6050€ de dons (défiscalisables à 66%) ont été encaissés par GIRI YAMA qui comme convenu a reversé 3025 € (3 paiements CB) sur le crowdfunding pour le bar Le Hobbit à VIntimille qui accueille des migrants. Le reste a servi à financer le solde des projets 2019 de GIRI YAMA.

À Vintimille, à 9 km de la frontière italo-française, des dizaines de milliers de réfugiés passent chaque année. Ils fuient la guerre, la torture, les violences. Ils tentent de traverser la frontière pour rejoindre des proches ou des connaissances en France, en Angleterre et dans d’autres pays européens, risquant leur vie pendant le voyage. Lorsqu’ils franchissent la frontière, ils butent souvent sur des abus, des détentions et des refoulements par la police française. (...)

Dans cette situation dramatique, cependant, une petite partie de la population résiste : parmi elle Delia, dont le bistrot (le bar Hobbit) est devenu l’âme de la solidarité à Vintimille. L’histoire de Delia commence il y a trois ans, lorsqu’elle invite à entrer et offre un repas à des femmes et à des enfants assis sur le trottoir devant le bar. Depuis, grâce au bouche à oreille, le café est devenu un point de repère pour tous les réfugiés qui transitent de Vintimille, ainsi que pour les volontaires et les organisations de soutien. Delia, surnommée "Mama Africa", a aidé des milliers de personnes en transit, offrant des vêtements, un repas chaud, un câlin et un lieu d’accueil à ceux qui en ont besoin.(...) Les enfants ont leur propre coin, que Delia a aménagé avec des jouets reçus en donation. Le bar est souvent le seul refuge pour les plus vulnérables, les femmes enceintes, les mineurs et les victimes de la traite.

Cependant, la solidarité de Delia l’a rendue impopulaire dans le quartier et chez une partie de la population de Vintimille, qui a banni le bar Hobbit, le nommant le « bar des immigrés », le « bar des noirs » ou même des nègres. Les insultes, les agressions et le vandalisme font désormais partie du quotidien de Delia. L’isolement, la perte de clients et les pressions de toutes sortes ont plongé le bistro dans une situation économique de plus en plus grave. Delia n’est plus en mesure de supporter les coûts et a été obligée, malgré elle, de le mettre en vente.

Ne permettons pas que l’un des rares lieux d’humanité et de solidarité qui résistent à Vintimille disparaisse ! Aidez-nous à soutenir Delia et à poursuivre son projet de solidarité active : chaque don, même petit, nous aide à acheter de la nourriture, de l’eau, des boissons et à couvrir les frais du bar.

pour approfondir :
- Entretien avec Delia
- Aidants désemparés

23/05/2020 à 14h00 d’après le site, 1.287+1=1.288 personnes ont fait un don en 628 jours et 51.120€ ont été récoltés (soit 39,7€ par don depuis le début .)

02/05/2020 à 18h00 d’après le site, 1.285+2=1.287 personnes ont fait un don en 607 jours et 50.820€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .)

18/04/2020 à 18h00 d’après le site, situation inchangée, 1.285 personnes ont fait un don en 593 jours et 50.710€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .)

04/04/2020 à 18h00 d’après le site, situation inchangée, 1.285 personnes ont fait un don en 579 jours et 50.710€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .)

21/03/2020 à 18h00 d’après le site, situation inchangée, 1.285 personnes ont fait un don en 565 jours et 50.710€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .)

07/03/2020 à 17h00 d’après le site, 1.283+03 = 1.285 personnes ont fait un don en 551 jours et 50.710€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .)

22/02/2020 à 15h00 d’après le site, 1.281+02= 1.283 personnes ont fait un don en 537 jours et 50.690€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .

08/02/2020 à 12h00 d’après le site, 1.274+07= 1.281 personnes ont fait un don en 523 jours et 50.625€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .

18/01/2020 à 16h00 : d’après le site, 1.241+33= 1.274 personnes ont fait un don en 502 jours et 50.315 € ont été récoltés soit 39,5€ par don depuis le début

21/12/2019 à 16h00 : d’après le site, 1.232+09= 1.241 personnes ont fait un don en 474 jours et 49.433 € ont été récoltés soit 40€ par don depuis le début

* Appel pour une collecte (non défiscalisable) PERMANENTE de nourriture pour Roya Citoyenne

* Dons (non défiscalisables) pour Roya-Citoyenne

* Dons (défiscalisables à 66%) pour l’association HABITAT & CITOYENNETE de NICE

* Dons (défiscalisables à 66%) pour les victimes de l’Agent Orange (permanent) et le procès intenté par Madame Tran To Nga aux fournisseurs de ce produit

* Dons (défiscalisables à 75% dans la limite de 537€ par an et par donateur, 66% ensuite) pour l’association RIVE de Saint-Denis de la Réunion

* Et bien évidemment les dons (défiscalisables à 66%) à AID que vous pouvez flécher ensuite sur les collectes non défiscalisables (renseignements ici )
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ICE : Ending the aviation fuel tax exemption in Europe

Adresse pour signature
La date limite est fixée au dimanche 10/05/2020

Signataires Délai Numéro d’enregistrement

74.022/1.000.000 10/05/2020 ECI(2019)000009
dont France 8.577/55.500
Date d’enregistrement Langue de l’initiative
10/05/2019 English

Pour soutenir une initiative citoyenne européenne, vous devez être un citoyen de l’UE (ressortissant d’un État membre) et être en âge de voter aux élections du Parlement européen.

Pour en savoir plus sur les règles et les conditions applicables à l’initiative citoyenne européenne : http://ec.europa.eu/citizens-initiative

Objet : We call the European Commission to propose to member states the introduction of a tax on aviation fuel (kerosene). The aviation sector enjoys tax advantages despite being one of the fastest growing sources of greenhouse gas emissions.

Principaux objectifs : While greener alternatives to aviation are subject to high taxes, the aviation industry benefits from many unjust tax exemptions. Aviation fuel remains untaxed in Europe and Member States don’t impose VAT on plane tickets, making aviation a more and more attractive transport mode whereas it is the most carbon-intensive. Taxing kerosene would allow the EU to drastically increase its funding for greener mobility as transport is the fastest growing greenhouse gas emissions sector.

Adresse internet de la proposition d’initiative citoyenne dans le registre de la Commission européenne : http://ec.europa.eu/citizens-initiative/public/initiatives/ongoing/details/2019/000009

Appel pour un Pacte Finance-Climat européen

En ce jour de manifestations publiques pour demander à nos élu-e-s de prendre en compte les appels de scientifiques éminents signalant l’urgence de changer nos comportements individuels et collectifs,

AID vous propose toujours de signer cet appel européen lancé par plusieurs dizaines de personnalités que nous connaissons et avec qui nous avons l’occasion de travailler pour certaines. L’appel est également relayé par d’autres organisations avec qui nous sommes en lien . Il a été lancé notamment par Jean JOUZEL climatologue français, ancien vice-président du GIEC

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Nous ne pouvons pas rester sans rien dire. Nous ne pouvons pas rester sans agir. Aujourd’hui, l’esprit se révolte contre le sort qui est promis à l’Homme. Nous, Citoyens d’Europe et Citoyens du monde associés dans une même communauté de destins, n’acceptons pas que l’humanité se dirige, sans réagir, vers le chaos climatique.

Le 31 octobre 2017, l’ONU nous alertait solennellement sur l’écart « catastrophique » qui existe entre les engagements des Etats et les réductions des émissions de gaz à effet de serre qu’il faudrait opérer pour maintenir le réchauffement en-dessous de 2°C.

« Les engagements actuels des Etats couvrent à peine un tiers des réductions nécessaires, soulignait Erik Solheim, directeur du Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Gouvernements, secteur privé, société civile doivent combler cet écart catastrophique. Un an après l’entrée en vigueur de l’accord de Paris, nous sommes loin de faire ce qu’il faudrait pour préserver des centaines de millions de personnes d’une vie de misère ». Comment combler cet écart ? Comment rattraper le temps perdu ? Que peut faire l’Europe ?

Puisque c’est « au nom de l’emploi américain » que les Etats-Unis ont décidé de se retirer de l’Accord de Paris, il est fondamental que l’Europe fasse la preuve « grandeur nature » qu’il est possible de diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre tout en créant massivement des emplois. Il est fondamental aussi que l’Europe prenne pleinement sa part pour cofinancer la lutte contre le réchauffement climatique dans les pays du Sud.

Diviser par 4 nos émissions, d’ici 2050 au plus tard ? Le chantier est colossal mais investir massivement dans les économies d’énergie et les énergies renouvelables pourrait conduire à « 900.000 créations d’emplois en France » selon les dernières prévisions de l’ADEME et plus de 6 millions d’emplois pour toute l’Europe… Voilà un bon moyen de faire reculer nettement le chômage et la précarité. Un bon moyen, donc, de réconcilier l’Europe avec les citoyens.....lire la suite

Voir le site officiel des INITIATIVES CITOYENNES EUROPEENNES
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* (C) Pétition : Stop à la guerre aux pauvres ! Contre la police sanitaire, la justice sociale

19.464 signatures sur 20.000 lien pour signer

Auteur : Mouvement Utopia
Destinataire(s) : Edouard Philippe (Premier Ministre) Emmanuel Macron (Président de la République)

Loin de la fiction d’une égalité de tous devant l’épidémie, les preuves s’accumulent d’une surexposition des habitant.e.s des quartiers populaires au covid-19. Les chiffres de la surmortalité en Seine-Saint-Denis sont, par exemple, alarmants. Ils s’expliquent par l’état du logement, le surpeuplement, des facteurs de comorbidité élevés, tels que l’obésité ou le diabète, une renonciation fréquente aux soins pour raisons financières, une offre de soins insuffisante, ainsi que par le fort taux d’ouvriers et d’employés dont les missions ne peuvent être exercées en télétravail.

Parallèlement, les habitant.e.s des quartiers populaires sont également les premières victimes de la police sanitaire d’exception mise en œuvre dans le cadre de l’état d’urgence. Les infractions y sont plus nombreuses parce que les contrôles y sont plus réguliers et parce que le respect strict du confinement est plus compliqué du fait de la promiscuité dans les logements. Or les sanctions financières, d’un montant fixe quel que soit le revenu, impactent plus lourdement les ménages aux revenus modestes. Et ces contrôles, parfois excessivement tatillons, s’accompagnent dans certains cas de violences injustifiées.

Ne faisons pas de cette crise sanitaire une catastrophe sociale qui viendra détruire un peu plus notre idéal d’égalité républicaine. Exigeons des mesures adaptées à la situation spécifique que vivent les habitant.e.s des quartiers populaires au regard de l’épidémie et du confinement.

1. Prioriser le rappel à la loi à visée pédagogique plutôt que les sanctions financières et adapter les sanctions financières du non-respect du confinement aux revenus pour les multi-récidivistes
2. Autoriser des sorties plus longues aux familles vivant dans des logements insalubres ou surpeuplés, en sécurisant et en balisant l’accès aux promenades et aux espaces verts.
3. Livrer nourriture et produits de base aux familles situées sous le seuil de pauvreté, fortement impactées par la suspension de la cantine
4. Organiser un dépistage systématique des habitant.e.s des quartiers
5. Fournir gratuitement des masques et des gants aux travailleurs dans l’incapacité de télétravailler
6. Proposer des cours particuliers à distance ou à l’école, en garantissant la sécurité des enfants, pour les élèves en difficulté

* (C) Pétition : #SavePeopleNotPlanes : Non au sauvetage inconditionnel du secteur aérien !

90.021 signatures sur 100.000 lien pour signer

Cette pétition, coordonnée par le Réseau Stay Grounded, s’appuie sur une lettre ouverte aux gouvernements signée par plus de 250 ONG au niveau mondial.

Au milieu de la crise du Covid-19, alors que le monde entier lutte contre le virus et que d’innombrables travailleur.euse.s perdent leurs revenus, le secteur aérien exige des renflouements massifs et inconditionnels garantis par les contribuables. Le sauvetage financier des compagnies ne doit pas permettre au secteur aérien de reprendre ses activités habituelles une fois la crise du Covid-19 terminée. L’argent public doit être utilisé en priorité pour les travailleur.euse.s et le climat.

Nous demandons :

  • Priorité aux employés
  • Une transition juste vers une mobilité respectueuse du climat
  • Pas de sauvetages sans une fin des exemptions fiscales

Afin d’atteindre ces objectifs, nous allons travailler ensemble dans les semaines à venir à sensibiliser et exercer une pression politique. Ces demandes, soutenues par plus de 250 organisations dans le monde, ne sont qu’un début - restez informés et devenez actifs via la Newsletter Stay Grounded.

* (C) Pétition : Pour un revenu universel d’urgence en Europe

177.514 signatures sur 200.000 lien pour signer

A Ursula von der Leyen (Présidente de la Commission européenne), Christine Lagarde (Présidente de la Banque Centrale Européenne), Mário Centeno (Président de l’Eurogroupe) et les ministres de l’Economie et des Finances des Etats membres de l’UE. Cette pétition vous est adressée par Unconditional Basic Income Europe

Nous appelons l’Union européenne, et l’Eurogroupe en particulier, à créer un instrument financier dirigé par l’UE pour soutenir tous les États membres de l’UE dans l’introduction rapide d’un revenu de base inconditionnel en tant que mesure d’urgence pour apporter une aide rapide et non bureaucratique à tous ceux dont la sécurité économique est menacée par la crise du coronavirus en Europe.

Pourquoi c’est important : Ils sont nombreux à avoir perdu leur seule source de revenus, du jour au lendemain. Coiffeurs, chauffeurs de taxi, directeurs de restaurant, professeurs de musique, coach sportifs, réceptionnistes d’hôtel, hôtesses de l’air, serveurs, guides touristiques. Une liste interminable de personnes qui ne savent plus comment ils vont payer leurs factures. L’insécurité est partout, sur toutes les lèvres. Combien de temps cela va-t-il durer ? Que dois-je faire ? Combien de temps devrai-je encore faire mes courses avec mes économies ?

C’est pourquoi les dirigeants européens doivent agir et annoncer leur soutien sans tarder ! L’UE a les moyens et l’autorité nécessaires pour le faire maintenant. Déjà, les discours politiques semblent y faire référence, même dans les endroits les plus improbables. Le gouvernement des États-Unis vient de proposer un paiement de 1.000 dollars pour tous les citoyens américains pendant deux mois. Le gouvernement britannique n’exclut pas une mesure similaire. Ces paiements extraordinaires sont à la une des grands quotidiens. Les dirigeants européens y pensent peut-être aussi ; assurons-nous qu’ils ont bien compris. Depuis la dernière grande crise de 2008, l’UE a injecté des milliards d’euros dans le secteur financier, qui était en difficulté. Après les banques, il est maintenant tant de soutenir les ménages ! .....la suite sur la page de signature

* (C) Pétition : Signez contre le génocide de Bolsonaro !

175.228 signatures sur 200.000 lien pour signer

Lettre à Fatou Bensouda, Procureure générale de la Cour pénale internationale

Madame la Procureure générale,

D’après plusieurs organisations de défense des droits de l’homme, des populations indigènes et de l’environnement, le gouvernement brésilien dirigé par président Jair Bolsonaro se rendrait coupable de graves violations des droits humains. En qualité de Procureure générale de la Cour pénale internationale de La Haye, nous vous exhortons à ouvrir une « enquête préliminaire sur l’incitation au génocide et les attaques systématiques et généralisées contre les peuples indigènes » possiblement perpétrées par le président Bolsonaro au Brésil.

Le 27 novembre 2019, le collectif brésilien des avocats des droits de l’homme (CADHu) et la Commission des droits de l’homme de Dom Paulo Evaristo Arns (Commission Arns) vous ont déjà remis une « note d’information » à cet effet. Nous vous prions d’agréer, Madame la Procureure générale, l’expression de notre plus haute considération.

* (C) Pétition : 1 enfant meurt de faim toutes les 30 secondes dans le monde*, le Coronavirus pourrait multiplier ce chiffre par 2 !

6930 signatures lien pour signer

Depuis janvier 2020, la pandémie de Coronavirus COVID-19 poursuit sa progression à travers le monde, faisant toujours plus de victimes, parmi elles, les enfants. Il n’y a à ce jour pas de vaccin et la maladie touche déjà plus de 200 000 personnes dans le monde. La seule façon, pour le moment, de stopper sa propagation, est de pratiquer les gestes barrières. Cela fait 40 ans qu’Action contre la Faim intervient auprès des populations vulnérables. À ce jour, déjà 20 pays dans lesquels nous intervenons présentent des cas confirmés de COVID-19. Les conditions d’hygiène y sont un enjeu majeur et nos équipes sont déjà mobilisées quotidiennement. Or, 40% de la population mondiale, soit 3 milliards de personnes**, ne peut se laver les mains à la maison. Il y a donc urgence à agir !

Pour bloquer la propagation du virus, nous allons renforcer les systèmes sanitaires locaux et sensibiliser les populations sur les pratiques d’hygiène. Notre objectif est de déployer massivement des activités spécifiques en eau, assainissement et hygiène dans les zones touchées par le virus. Notre travail s’orientera en priorité vers l’identification et le référencement des personnes contaminées vers les centres de santé, la mise en œuvre renforcée des actions d’hygiène pour accompagner les changements comportementaux, le déploiement, quand cela sera possible, d’activités de soutien et d’engagement communautaires (accompagnement en santé mentale notamment).

Nous avons déjà fait face à des crises similaires de propagation de virus, lors de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest ou de choléra au Yémen. En Haïti, nous avons aidé à éliminer le choléra en partie grâce à la distribution de kits d’hygiène dans les foyers avec des cas suspects et la sensibilisation aux pratiques d’hygiène pour éviter la propagation du virus. Nous sommes donc prêts à faire face à celui-ci. Mais sans votre soutien, nous ne pourrons y parvenir. Notre capacité à réagir face à l’urgence ainsi que notre expertise en matière de prévention des épidémies, d’accès à l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène nous donnent les moyens d’agir efficacement face à cette crise, dans nos pays d’intervention mais aussi en France, où nous nous mobilisons auprès des plus démunis. Cela dépend de vous… Prenez soin de vous et de vos proches.

* (C) Pétition : N’extradez pas Julian Assange vers les Etats-Unis

474.484 signatures sur 500.000 lien pour signer

Calder Claydon a lancé cette pétition adressée à Sajid Javid, Secrétaire d’Etat à l’Intérieur britannique et à 2 autres

Julian Assange vient d’être arrêté après s’être réfugié pendant 7 ans à l’ambassade d’Équateur à Londres. S’il doit être jugé pour des crimes, il doit l’être en Europe et ne doit en aucun cas être extradé vers les États-Unis, où il risquerait de faire l’objet d’un procès politique. Assange a facilité la fuite de documents américains classifiés qui intéressent tout le monde. Ces fuites ont permis de révéler des violations des droits de l’Homme commises par le Gouvernement américain et ainsi que des cas d’espionnage d’alliés. Toute allégation contre Assange devrait être traitée dans le système de justice pénale britannique ou européen.

Si l’enquête suédoise sur le viol à son encontre est rouverte, il doit bien sûr faire l’objet d’une enquête et être tenu pour responsable. Mais le Ministère de l’Intérieur a déclaré qu’il avait été arrêté suite à une demande d’extradition émanant des États-Unis. Que vous soyez d’accord avec Assange ou non, s’il est remis aux États-Unis, cela créera un dangereux précédent : n’importe quel journaliste pourra être extradé aux États-Unis simplement pour avoir publié des informations complètes et véridiques. Veuillez signer ma pétition appelant les autorités britanniques à refuser de remettre Julian Assange aux États-Unis.

* (E) Pétition - MERCOSUR : non au libre échange avec les pyromanes !

341.629 signatures sur 350.000 attendues Lien pour signer

À la Commission européenne et aux gouvernements des Etats membres de l’UE
Madame, Monsieur,

L’UE souhaite signer un accord de libre-échange avec les Etats du Mercosur. L’accord a pour but de faciliter les exportations, notamment de viande bovine et de volaille, de sucre et d’éthanol en Europe. Ce projet implique une intensification de l’agriculture avec des répercussions négatives sur la nature et la population rurale.

Nous connaissons bien ces dangers :

- Des quotas plus élevés pour la viande bovine entraîneront une augmentation de la production de viande bovine en Amérique du Sud, une expansion des pâturages et donc le défrichage des forêts et des savanes. Dans le même temps, la pression exercée sur les exploitants européens les amènera à augmenter leur production, au détriment du bien-être animal.

- L’agriculture toujours plus intensive en Amérique du Sud implique souvent des conflits fonciers et des violations des droits humains pouvant aller même jusqu’à l’esclavage. L’utilisation à grande échelle de produits toxiques tels que le glyphosate met en danger la santé de nombreuses personnes.

- Des réglementations sur des barrières non tarifaires menacent les normes environnementales européennes ainsi que les droits du travail et des consommateurs. Le principe de précaution tel que défini dans l’UE est menacé, les principes démocratiques sont mis à mal.

En menant des négociations à huis clos, la Commission européenne poursuit apparemment la même stratégie que pour les accords TTIP et CETA, contre lesquels des millions de citoyens ont protesté. L’UE ne semble pas prendre ces critiques au sérieux et poursuit, avec l’ALE Mercosur, une politique commerciale tout aussi nocive, au détriment des hommes et de l’environnement des deux côtés de l’Atlantique.

Nous vous demandons de mettre un terme à cet accord.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur à l’assurance de notre considération et de notre vigilance citoyenne.

* (C) Pétition : STOP 5G Le cerveau humain est de 40 hz et le champ Terrestre 30 hz Maximum

66.170 signatures lien pour signer

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Imaginez.. Un beau matin, un savant fou, fait intrusion dans votre vie, dans votre maison, vous êtes à table et vous prenez votre petit déjeuner, muni d’un pulvérisateur, notre intrus vous envoie des pesticides ou du round up dans votre assiette, puis vous gave de chimie expérimentale, fait tourner un moteur de voiture sur votre terrasse remplissant l’espace de CO2 et bombarde votre living d’ondes multiples et diverses. Quelle serait votre réaction au bout d’une journée de vie commune ? Et surtout de quel droit vous impose-t-il tout cela ?

Chaque jour des scandales sanitaires et socio-écologiques font la une des médias. Les ondes & les fréquences ne sont pas en reste ! Qu’en est-il de la 5G ? A minima nous sommes tous en droit de poser certaines questions ! Quelles études indépendantes attestent de sa non-nocivité sur la santé publique et sur le vivant au sens large ? Où est le respect des personnes électrosensibles de plus en plus nombreuses, qui n’auront plus aucune zone blanche sur terre où se protéger ?

Wifi, GPS, GSM, MICROS ONDES, RADIO, Quels sont les impacts sur la santé, des ondes cumulées que l’on nous impose dans cette course folle à la surconsommation et à la croissance infinie ? Où sont les études sérieuses sur le sujet ? Quel agenda caché sur le tracking de nos vies privées, alors que ces technologies sont mises en place et validées par des groupes de personnes aux intentions plus que douteuses, l’homme serait-il devenu capable de bienveillance ? A première vue, tout porte à croire que non.

A priori, notre savant fou est aussi aux commandes de l’avion à bord duquel nous nous apprêtons à embarquer. Victor Hugo nous disait " Il est dommage d’observer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas". Mais que nous dicte Dame nature ?

Le cerveau humain fonctionne entre 4hertz en DELTA & 35hertz en BETA. Alors que les champs Terrestres, sur base des résonances de Shumann, fluctuent entre 7 & 30hertz. Sans entrer dans des considérations encore plus scientifiques, il vient déjà deux questions évidentes que tout un chacun est en droit de se poser.

Quel impact sur les champs naturels terrestres, alors que des milliers de satellites supplémentaires vont être mis en orbite afin de ratisser et d’arroser la planète de 5G ? Prenez-vous le risque, d’exposer votre cerveau, principalement composé d’eau (très bon conducteur de champ électromagnétique) à quelques centimètres, voire millimètres de tels appareils ? Il est plus que temps de demander des comptes à notre savant fou, et à défaut d’entendre des réponses cohérentes, bienveillantes et surtout certifiées, de dire STOP, tant qu’il en est encore temps.

Le Danger 5G aujourd’hui est d’abord celui d’agissements en non conscience et de ce qu’ils engendreront pour la santé publique.Agir et demander des comptes c’est maintenant, la 5G ce n’est pas du "FUN", c’est nos santés et la vie d’abord.

Nous pouvons tous agir, visiblement le seul droit de parole qui nous reste, sans risquer de se faire gazer dans les rues, est de porter ensemble ce message aux plus hautes autorités Nationales & Internationales et de conscientiser l’opinion publique, pour cela 2 secondes de votre temps et deux clics pour signer et partager cette prise de conscience auprès du plus grand nombre de vos contacts.

Agissons dans la paix en action, la sagesse et la bienveillance qui prévaut pour tous, politique et lobbyiste y compris, d’ailleurs se sont-ils eux-mêmes posés toutes ces questions pour leur propre famille, amis et enfants, ont ils également connaissance de tous les paramètres ?

Au bout du compte, nous sommes tous exposés aux mêmes radiations et nous partageons le même environnement. Vous pouvez aussi rejoindre et signer la charte " L’accord entre l’homme et sa nature " sur www.ecosfeeria.org/charte. Le futur en conscience n’est pas la responsabilité des autres, mais celle de tous. Merci à toutes et à tous & belle journée

* (E) Pétition : 2025 : l’extinction des hérissons ?!

78.746 signatures lien pour signer

Adressé à : Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire et Didier Guillaume, Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation

Je suis abasourdie.Je viens de découvrir ce matin que le hérisson est en France une espèce en voie de disparition. En France ! En voie de disparition !! Selon plusieurs scientifiques et vétérinaires spécialisés, les hérissons auront disparu d’ici 2030, voire 2025 pour les plus pessimistes. Sommes-nous à ce point déconnectés de la nature que nous laissons une espèce aussi emblématique disparaître sans lever le petit doigt ? Nous sommes en train de décimer une espèce tout entière. Et ce, dans l’indifférence générale.Le hérisson est apparu il y a 60 millions d’années.Serons-nous l’espèce qui mettra fin à tout ça en l’espace d’une demi-génération ?Je ne peux m’y résoudre.

Le hérisson est en déclin constant depuis les années 1950, et cela à plus de 50% à cause de l’activité humaine. Pire, seulement un hérisson sur cinq atteint l’âge de 1 an. Je parle ici de l’industrialisation de l’agriculture qui a largement supprimé les forêts, les haies et tout ce qui pouvait gêner le passage d’un tracteur, mais aussi l’utilisation massive de produits chimiques contre les maladies et les « nuisibles ».
Les premiers tueurs du hérisson sont les pesticides et insecticides… Vous savez les petits granulés bleus que l’on met innocemment autour de ses salades pour se débarrasser des limaces ? Sachez que le hérisson s’empoisonne en consommant les insectes et animaux eux même empoisonnés par nos soins.Vous savez comment j’en suis venue à m’intéresser à cette histoire ? Il s’avère que de plus en plus de jardiniers me demandaient des conseils contre les limaces, certains parlent de « véritable invasion ». J’ai donc remonté la chaîne et j’ai trouvé le véritable problème. En voulant « régler » rapidement nos petites contrariétés au jardin, car soyons honnête une minute nous n’avons aucune patience et ne pouvons laisser la nature faire son travail, nous décimons le principal allié de nos jardins !Et comme toujours lorsque la chaîne de l’écosystème est rompue, les ennuis arrivent…

Je ne sais pas vous mais j’ai personnellement un coup au cœur lorsque je vois le cadavre d’un hérisson au bord de la route…J’aimerais vous dire que cela n’arrive pas souvent, mais je ne suis pas ici pour vous mentir. En vérité, ce petit cadavre de hérisson que vous avez croisé sur la route ce matin en allant au travail est l’un des 1.8 millions (en moyenne) tués sur la route chaque année. Ce chiffre, s’il peut nous effrayer, devrait surtout nous forcer à affronter la situationIl est URGENT d’agir

Si vous avez un jardin, la solution est simple : arrêtez les pesticides et insecticides une bonne fois pour toute.Tout simplement. Ne soyez plus les empoisonneurs de la nature.Je sais que vous ne pensiez pas à mal, nous ne connaissons souvent pas toutes les implications qu’un simple petit geste peut avoir…« Ce n’était que de petites billes bleus … » Mais maintenant que vous savez vous n’avez plus AUCUNE excuse pour continuer. Arrêtez une bonne fois pour toutes les « jardins propres », ne faites pas de votre jardin un cimetière ! Je vous en prie, choisissez d’en faire des arches de Noé…

Si votre propriété donne sur une route et dispose en plus d’une haie, vous pouvez clôturer cette partie pour empêcher les hérissons d’atterrir sur la route. Devenez famille d’accueil ! Aidez les associations débordées ! Le gouvernement ne peut plus fermer les yeux sur ce massacre.La France doit à présent être courageuse et faire de la protection de la biodiversité son fer de lance.

Avant qu’il ne soit trop tard. Pour la santé de sa population, Pour la santé de ses enfants, Pour la richesse de son territoire, Pour la nature sans laquelle nous ne pouvons vivre. Soyons innovants, soyons des précurseurs, soyons le pays courageux qui CHOISI autre chose. Je sais que la France ne manque pas de courage, prouvons-le ! Misons sur la vie plus que sur les lobbys.Ce n’est pas être un leader que de se laisser dicter sa politique par les autres entreprises.

Les VRAIS leaders définissent les règles justes pour le plus grand nombre et font en sorte que les autres s’y tiennent. Arrêtons l’utilisation des produits douteux ou avérés nocifs. Arrêtons d’empoisonner notre terre et nous-même ! Rétablissons les haies et la biodiversité autour de nos cultures ! Aidons les associations de préservation de la nature, donnons-leur les moyens de réussir au mieux leur mission. Ne les laissons plus seuls, soyons bienveillant. Sachez que ce travail n’est pas seulement le leur, c’est notre travail à tous de veiller à la conservation de la nature.

« Nous dénombrons environ 19 centres habilités contre 800 au Royaume-Uni. Nous sauvons environ 1800 hérissons par an contre 30000 au Royaume Uni. » Les Anglais sont-ils plus évolués que nous ? Sur ce point, sans commune mesure. Créons sur nos routes beaucoup plus de lieux de passages pour la faune sauvage ! Partageons les espaces, soyons intelligent pour notre avenir. Pensons les routes du futur, guidons les animaux vers des lieux sécurisant pour eux.

J’espère que mon appel réveillera les consciences et permettra de faire changer les choses durablement. Rappelez-vous, la protection des animaux et de la nature est l’affaire de tous. Nous sommes tous responsables.

* (E) Pétition Pour les tortues : stop au projet de logements de luxe PSR !

228.594 signatures sur 250.000 lien pour signer

À Tun Dr Mahathir Mohamad, Premier ministre de la Malaisie
Monsieur le Premier ministre, le gouvernement malaisien propose la création de trois énormes îles sur une surface de 1821 hectares au large de Permatang Damar Laut, sur la côte sud de l’île de Penang. Cette poldérisation se destine au développement de complexes et ne répond pas à une pénurie de terres. L’absence de consultation publique et le manque d’informations détaillées sur ce projet sont alarmants au vu de son envergure.

La zone concernée par le projet Penang South Reclamation (PSR) est l’aire privilégiée du dauphin à bosse et du marsouin aptère de l’Indo-Pacifique. Le milieu côtier de Permatang Damar Laut, Gertak Sanggul et Teluk Kumbar serait détruit par cette poldérisation et la pollution qui en résulte et les plages immaculées du sud du Penang seraient anéanties.

L’îlot de Pulan Kendi, riche en coraux, pourrait lui aussi être contaminé. La biodiversité marine s’en trouverait affectée et appauvrie dans un rayon de plusieurs kilomètres. Penang, riche de ses collines, de ses mers et de sa capitale classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, se trouve aujourd’hui à un tournant de son histoire.

Des stratégies de développement durable prudentes sur le plan financier et socialement inclusives sont garantes d’une croissance économique solide. Nous avons la responsabilité de laisser une meilleure planète à nos générations actuelles et futures ! Nous en faisons appel à vous pour sauver nos pêcheurs ! Sauvez notre environnement côtier ! Rejetez la poldérisation !Respectueusement vôtre,

* (C) Pétition : Que Nestlé cesse de piller la seule ressource en eau de la petite ville française de Vittel

164.479 signatures sur 200.000 lien pour signer

800 millions de litres par an. C’est la quantité d’eau que Nestlé prélève chaque année dans la nappe souterraine de la petite ville de Vittel, menaçant d’épuisement la ressource principale des habitants. Mais au lieu d’exiger de Nestlé qu’elle cesse ses prélèvements, élus et industriels reportent la responsabilité sur les habitants. Leur solution ? Construire un pipeline de plusieurs dizaines de kilomètres pour venir ravitailler les 30 000 habitants du territoire concerné — et au frais du contribuable bien sûr ! Un projet qui ravit Nestlé mais qui a également conduit à ouvrir une enquête pour conflit d’intérêts contre l’élue en charge du dossier.

Vous l’aurez compris, les habitants ne comptent pas se laisser faire et nos partenaires du Collectif Eau 88 mènent la lutte sur le terrain. C’est pourquoi ils font appel à la communauté de SumOfUs aujourd’hui pour les aider dans leur combat. Les habitants sont seuls face à la multinationale et à l’Etat, unis pour faire triompher leurs intérêts aux dépens de l’avenir des communautés locales.

Nestlé a décidé que la nappe phréatique de Vittel lui appartenait, alors que l’eau est un bien commun censé permettre à chaque population locale de subvenir à ses besoins vitaux. La région des Vosges est certes riche en eau, mais la nappe phréatique très profonde — où Nestlé siphonne l’eau la plus pure — se recharge très lentement… N’ayant pas le temps de se régénérer, la nappe perd irrémédiablement 800 millions de litres chaque année... Exactement la quantité pompée par Nestlé — soit 280 piscines olympiques ! Ainsi, avec son pompage de 800 millions de litres par an, « Nestlé est aujourd’hui responsable de la totalité du déficit », estiment nos partenaires locaux du Collectif Eau 88.

Face à cette catastrophe environnementale, la solution des élus est de creuser un trou pour en reboucher un autre : ils souhaitent construire un pipeline de plusieurs dizaines de kilomètres pour faire acheminer l’eau de territoires voisins. Des travaux qui s’élèvent entre 12 et 30 millions d’euros, financés par les contribuables, les citoyens et peut-être Nestlé pour partie. Ce projet est un véritable cadeau de l’Etat à Nestlé, privatisant de fait la nappe phréatique au bénéfice de la multinationale. Montrons à Nestlé que les habitants de Vittel ne sont pas seuls dans leur lutte et exigeons de la multinationale qu’elle cesse le pillage de la nappe phréatique !

Mais le scandale ne s’arrête pas là. Le projet pourrait également révéler de bien sombre conflits d’intérêts. Claudie Pruvost, conseillère départementale vittelloise ainsi que la Vigie de l’Eau sont actuellement visés par une enquête. Présidente de la Commission Locale de l’Eau qui devait trouver comment mettre un terme à la surexploitation de la nappe, elle est aussi l’épouse de Bernard Pruvost, ex-cadre de Nestlé International et actuel Président de la Vigie de l’Eau, association elle-aussi chargée d’élaborer les solutions... Pour nos partenaires, le risque de prise illégale d’intérêts n’est pas à écarter.

Nous ne pouvons pas laisser Nestlé continuer à privatiser et marchander nos ressources naturelles. La nature n’est pas le réservoir à bénéfices de Nestlé. Que cela soit aux Etats-Unis, au Brésil, en Australie, en Afrique du sud, au Niger, en Afghanistan… ou en Europe, les membres de SumOfUs ont acquis une véritable stratégie d’attaque dans la lutte contre la prédation de Nestlé.Ensemble, une fois de plus, nous savons que nous pouvons faire plier Nestlé et l’industrie de l’eau en bouteille.

* (C) Pétition : "Mais pour rester chez soi, il faut un chez soi !"

102.430 signatures sur 100.000 lien pour signer

Monsieur le Premier ministre,

Notre pays traverse une crise sanitaire sans précédent. Les Françaises et Français, confinés chez eux, adoptent progressivement les gestes barrière qui sauvent. Notre quotidien change, nos vies sont bouleversées, nous restons chez nous. Confinés mais chez nous. Mais pour rester chez soi, il faut un chez soi.

Comment est-on confiné quand on est sans domicile ? Pour ceux qui vivent dans la rue, les plus fragiles d’entre nous, la vie est chaque jour un peu plus dure. Il y a urgence. Urgence à leur permettre d’accéder aux soins nécessaires pour ceux qui sont touchés par le CoVid-19. Urgence à débloquer des moyens supplémentaires pour les associations qui interviennent sur le terrain. Urgence à aider les collectivités locales qui organisent le confinement des personnes sans abri. Autrement, les sans domicile fixe, les mineurs isolés, les familles et personnes exilées qui sont sur le territoire français risquent de faire partie des oubliés de la crise sanitaire.

Des solutions existent. Les représentants du secteur de l’hôtellerie se sont mis, par exemple, à la disposition du gouvernement pour offrir des solutions de relogement. Il faut agir vite, sinon le risque de mortalité chez les personnes sans abri risque de s’accélérer et cette crise sanitaire peut se transformer en désastre humanitaire.

Si nos vies doivent changer grâce à cette crise, c’est dans le sens d’une plus grande fraternité car cette crise sans précédent révèle les failles insupportables d’une société incapable de proposer à toute sa population un logement digne et durable. Les paroles du président de la République ont marqué les esprits. Nous l’avons entendu. Il a parlé d’une guerre à mener contre un ennemi invisible. Une guerre... Il connaît suffisamment l’Histoire pour savoir que les guerres ont toujours donné naissance à de nouvelles formes de solidarité.

Si rien ne doit être comme avant cette crise, faisons-en sorte que nos actes changent dès maintenant. Ce n’est pas en détournant le regard que nous parviendrons à nous en sortir, c’est en surmontant collectivement les échecs de notre modèle de développement et en aidant ceux qui sont restés depuis trop longtemps au bord du chemin. Ceux-là n’ont ni syndicat ni confédération pour les représenter, pas de revendications à vous adresser, pas de « charges » ni d’impôts à reporter. Ils sont pourtant touchés comme les autres et, plus fragiles encore, ils ont plus de risque que les autres d’être emportés.

Monsieur le Premier ministre, nous lançons cet appel au nom de ces centaines de milliers de femmes et d’hommes qui vivent à l’écart de notre société, que nos associations accompagnent chaque jour pour leur redonner espoir et que nous ne pouvons pas abandonner. Faites vite, ils ont besoin de vous. Comme les autres, plus que les autres. Merci.

* (C) Pétition : Pour le changement de nom patronymique pour raison légitime

28.319 signatures sur 50.000 lien pour signer

Destinataire : Nicole Belloubet (Ministre de la Justice)

Bonjour, j’ai d’abord été abandonnée puis placée dans une première famille, puis dans une seconde à l’âge de 13 mois, dont je porte le nom actuellement. J’y ai subi des violences psychologiques, physiques et sexuelles dont on ne s’en remet pas, une réparation serait la bienvenue...

L’année de mes 28 ans, j’ai écrit à Monsieur le Président de la République, qui en retour m’a dit : " prescription des faits ! " Ce qui ajoute des douleurs, de la rage supplémentaire...J’en ai informé Madame la garde des sceaux, cela fait un an en lui fournissant un dossier complet, soit : une annonce dans le Journal Officiel, puis dans un journal local, pour un coût de 172€. Je lui ai, une seconde fois envoyé le dossier complet toujours en AR . Par la suite, la psychologue qui m’accompagne a également rédigé un courrier pour appuyer ma demande d’un point de vue santé mentale en AR .

Le Pôle Social de la Solidarité des Landes a même reconnu ce préjudice en m’indemnisant les frais occasionnés par rapport à la publication des annonces (Journal Officiel + Affiches landaises). Le 12/03/2020 , je n’ai eu aucune réponse de Madame la garde des Sceaux, ne serait-ce , "j’accuse réception de votre demande , j’étudie votre demande... " Rien, rien du tout. Il me semble nécessaire que ma demande ait une réponse ; cela fait partie de ma reconstruction psychique.

Je souhaite donc aujourd’hui changer ce nom patronymique " DUVAL" , il me semble légitime de ne plus vouloir porter le nom de mon agresseur . Ainsi je pourrais me libérer de mes chaînes qui me pèsent depuis bientôt 52 ans. Il m’est inconcevable de poursuivre mon existence avec ce nom patronymique qui m’a fait violence par le passé et qui continue à me fragiliser.

Je ne veux pas mourir avec ce nom ! J’espère trouver du soutien ici. Je pense aussi à toutes ces personnes qui ont subi ce genre de préjudices et qui souffrent en silence. Il faut se battre, toujours se battre, tout cela est très épuisant, surtout quand le retour se fait par le silence . Merci pour votre aide et j’espère de tout mon cœur trouver du soutien .
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* (E) Pétition : Pour une réforme radicale* de la chasse

218.676 signatures lien pour signer Par One Voice
Pétition adressée à Monsieur Emmanuel Macron, président de la République

*Radical, radicale : adjectif Qui vise à agir sur la cause profonde de ce que l’on veut modifier.

En France, la chasse tue chaque année 45 millions d’animaux sauvages libres ou issus d’élevages (dont 30 millions nés en liberté), sans compter les victimes « collatérales » humaines et animales.La chasse n’est ni un loisir ni un art de vivre ! Et ce n’est pas en remplaçant les termes « tuer » et « abattre » par ceux de « gérer », « prélever » ou « servir » que la pratique en est moins cruelle pour les animaux et moins nuisible pour la nature.Il est temps qu’une activité si destructrice soit interdite. En attendant, voici 10 points pour réformer cette pratique :

  • Indépendance de la police de la chasse ;
  • Interdiction de chasser les espèces en mauvais état de conservation ;
  • Interdiction de chasser en périodes de reproduction ;
  • Interdiction des pièges tuants ;
  • Fin des chasses dites « traditionnelles » (glu, lèques, lacs, pentes, tendelles…) ;
  • Abolition de la vènerie sous terre pour toutes les espèces ;
  • Abolition de la chasse à courre pour toutes les espèces ;
  • Abolition de la chasse dans les espaces protégés (Parcs Nationaux, Réserves naturelles, réserves biologiques) ;
  • 2 jours par semaine sans chasse ni piégeage (dont le dimanche) et l’intégralité des vacances scolaires ;
  • Visite médicale annuelle obligatoire pour le permis de la chasse avec contrôle de la vue.

Nous soussignés demandons aux côtés de l’association One Voice une réforme radicale de la chasse !
Amour de la nature ne rime pas avec destruction, dégradation et souffrance animale mais avec respect et émerveillement.

Avec le soutien des personnalités :
Laurent Baheux - Photographe
Fabrice Nicolino - Journaliste
Laurence Parisot - Dirigeante d’Entreprise
Pierre Rigaux - Naturaliste
Franck Sorbier - Grand Couturier et Maître d’Art
Pierre Athanaze - Naturaliste et forestier
Yolaine de la Bigne - Journaliste et auteure
Vincent Munier - Photographe
Paul Watson - Activiste de la cause animale, capitaine de navire
Marc Giraud - Naturaliste et écrivain

* (E) Pétition : Stop au commerce illicite du palissandre au Ghana

134.642 signatures sur 150.000 lien pour signer

À la Commission européenne

Madame la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen,
Mesdames et Messieurs les Commissaires européens,

L’Union européenne et le Ghana sont sur le point de signer un contrat commercial portant sur le bois, conformément au plan d’action relatif à l’application des réglementations forestières, à la gouvernance et aux échanges commerciaux (FLEGT). Il est attendu que le Ghana octroie dès 2020 des licences FLEGT dans le cadre d’un accord de partenariat volontaire (APV).

Le Ghana est considéré comme un exemple pour le plan d’action FLEGT en Afrique. Mais une grande partie de la filière bois est illégale et extrêmement corrompue. Cela concerne notamment le commerce du vène (Pterocarpus erinaceus), qui peut conduire à la disparition de cette espèce de palissandre dans la région.

L’Agence d’investigation environnementale (EIA) analyse de manière détaillée dans son rapport BAN-BOOZLED « comment la corruption ainsi que des ententes frauduleuses alimentent le commerce illégal de palissandre au Ghana ».

L’exportation illégale de ce bois précieux ne viole pas uniquement la convention de Washington sur le commerce international des espèces de faune et de flore (CITES), mais également une interdiction nationale. Cela sape les efforts du Ghana visant à établir un système de commerce transparent et légal.

Nous vous demandons donc de faire pression afin que le gouvernement du Ghana mette fin au commerce illégal de palissandre. L’UE et le Ghana doivent s’assurer du respect des règles de la CITES. Plus aucun tronc de vène ne doit quitter le Ghana.

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs les Commissaires, l’expression de notre profond respect.

* (C) Pétition : Oui au train de nuit !

183.080 signataires sur 200.000 attendus lien pour signer

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De nombreux trains de nuit ont été démantelés en 2016-2017. Le Paris-Nice est menacé en décembre 2017. L’activité demanderait au contraire à être relancée. Le train de nuit est un service efficace et pertinent pour l’avenir :

- Il permet de relier les territoires périphériques et les régions éloignées les unes des autres.

- Voyager pendant notre sommeil, permet d’arriver tôt le matin, sans (demi-)journée perdue dans les transports
- Le train de nuit est une alternative moins énergivore aux transports aériens et routiers. Il est compatible avec la Transition Écologique.

- Les trains de nuit ont une forte capacité (jusqu’à 800 places), et ils affichent toujours de bons taux de remplissage. La "baisse de fréquentation" qui sert de prétexte au démantèlement provient d’abord d’une diminution du nombre de trains.

- L’Autriche relance les trains de nuit en Europe centrale et elle a montré qu’ils peuvent s’autofinancer. Le "déficit supposé" des trains de nuit en France tient aussi aux nombreux dysfonctionnements (absence de promotion commerciale, sortie à la réservation souvent tardive, fréquentes annulations, etc).

Nous souhaitons donc dès aujourd’hui :

* qu’un bilan moins caricatural des trains de nuit soit publié.

* que les trains de nuit soient relancés et qu’ils reprennent leur place dans l’offre des transports.

Le tramway avait lui-aussi disparu au 20ème siècle, et désormais de nombreuses villes en rêvent. Le vélo n’était plus utilisé comme moyen de déplacement dans les années 1990, il est également de retour. Les trains de nuit ont besoin de vous pour revenir à leur tour !

Infos, idées d’actions, et une enquête sur le potentiel des trains de nuit sont disponibles ICI

===>Vous trouverez ci-dessous un communiqué de Presse et une photo en PJ à l’occasion du rassemblement organisé par les Amis du Rail Azuréen le 8/12/2017 à 19h gare de Nice-Ville pour informer les usagers de la suppression du train bleu le NICE PARIS le 9.12.17. Nos actions successives ne sont pas restées dans l’indifférence, les arguments développés tout au long de notre combat pour le maintien du service public ferroviaire, leurs sincérités ont touché les citoyens, les élus peuvent agir plus librement des dizaines de milliers de citoyens les soutiennent dans leurs démarches nouvelles. Les besoins de mobilité sont immenses dans notre ère numérique, les suppressions des lignes intercités sont incohérentes avec les objectifs de mobilité durable et de lutte contre le changement climatique. Nous n’en resterons pas là nos démarches persévèrent jusqu’à la reprise de ce service public. Pour les participants à ces rassemblements qui n’ont pas remis leur adresse de messagerie, les amis qui les ont fait associer à nos démarches leur communique ce mel et nous font parvenir s’ils le souhaitent leur adresse E-mail pour les ajouter à nos listes de diffusion et les tenir informés.

Bien cordialement, Nallino Germain

COMMUNIQUE DE PRESSE : Un avenir au Train Bleu …

Une quarantaine d’usagers avait répondu à l’appel des Amis du Rail Azuréen du 8 décembre pour aller à la rencontre des usagers du train Bleu. Une ambiance joyeuse régnait dans la salle des pas perdus de la gare de Nice-Ville, nous avions communiqué la bonne nouvelle, Philippe TABAROT vice-Président PACA en charge des Transports en réponse à nos initiatives nous annonçait l’implication de la région PACA dans le financement des Intercités et le Train Bleu. Cris de joie, distribution de tracts 500 ce soir, discussion avec des usagers dont certains n’avait toujours pas connaissance de la suppression du Train Bleu. Des commerciaux : « ce n’est pas possible qu’on supprime le train Bleu ! Le programme que nos avions monté pour nos déplacements sur Nice devient obsolète. C’est au moins une nuitée d’hôtel qu’il faudra compter en plus… » Un autre « je ne comprends pas, à chaque montée sur Paris le train est bien chargé, j’ai même eu des difficultés à réserver une couchette préférentielle. Il est certain que ce train pourrait mieux faire s’il était modernisé, espace convivial de détente, espace de travail numérisé, restaurant … avec une bonne publicité, des tarifs attractifs, le respect des horaires je pense qu’il faudrait dédoubler ce train. Trois journalistes radio, Europe 1, France Inter, une Radio régionale interviewaient usagers et organisateurs.

Nous ne pouvons que constater l’intérêt que suscitent les trains de nuit. En Autriche ils ont réussi le tour de force de remettre sur rail 6 liaisons de nuit abandonnées par la DB avec du matériel existant relooké. L’objectif étant de satisfaire une large palette de clientèle aux exigences très différentes : Löw cost, déplacements en famille, en couple ou voyages d’affaires. Tout est possible, de la place assise bon marché jusqu’au compartiment individuel équipé de toutes les commodités (WC, lavabo, douche), avec collation en soirée et copieux petit déjeuner à la carte. Et pourquoi pas chez nous en France ? Toutes rencontres nous ont démontré un potentiel d’usagers importants, la SNCF doit faire les efforts d’adaptation ainsi qu’une organisation ponctuelle. La Région PACA a pris un tournant politique décisif dans l’avenir des Intercités et du Train Bleu, le gouvernement doit être à la mesure de nos attentes. Plus que jamais résistance aux intercités et trains de nuit. Il est toujours temps de se mobiliser en ajoutant son nom aux plus de 28 500 signataires de la pétition www.change.org/p/ouiautraindenuit. Celle-ci a d’ailleurs été signée plus de 1500 fois la semaine dernière.

Nallino Germain, Président,156 bd Napoléon III - Bourgogne A - 06200 NICE Tel : 0493 210875 et 0695 306043 amisdurailazureen06@free.fr

* (E) Pétition : Non au train à touristes dans la forêt des Mayas

220.118 signatures sur 250.000 lien pour signer

Au Président mexicain Andrés Manuel López Obrador

Monsieur le Président, la nature est déjà menacée dans le sud du Mexique par le tourisme international, les monocultures industrielles d’huile de palme et de soja, l’élevage, l’exploitation forestière et le commerce illégal des espèces. Des réserves naturelles possédant une valeur écologique et culturelle stratégique ainsi que des communautés d’agriculteurs et de Mayas sont touchées. La construction et l’exploitation du train touristique impliquent une charge environnementale supplémentaire, qui menace les écosystèmes et la biodiversité des zones de forêts vierges de la jungle maya. Une réserve naturelle aussi importante et les sites archéologiques des Mayas doivent être préservés à tout prix.

La nécessité du projet et le tracé de la voie ferrée doivent faire l’objet d’une révision et la dégradation des réserves de biosphère doit être évitée. Cela requiert également la réalisation d’une étude complète sur l’impact environnemental du projet. L’expropriation des terres et l’acquisition de droits de passage, qui concernent les communes de la péninsule de Yucatan, sont une atteinte grave au tissu social. Le projet doit être approuvé par les habitants, ce qui implique de leur fournir des informations complètes et précises sur le projet, comme l’exige la Convention 169 de l’Organisation internationale du travail (OIT).

Les communautés indigènes ne sont pas, selon leurs propres mots, contre le progrès, mais contre des Grands projets qui ne leur apporteront aucun avantage et ne permettront pas de contribuer au développement régional. Les pays, qui préservent au mieux leur patrimoine culturel et naturel, seront les destinations touristiques les plus prisées dans le futur.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond respect.

* (C) Pétition : COVID19 : SOS Sans logis, mal logés et locataires !

9.214 signatures sur 10.000 lien pour signer

Les sans-logis dans les rues, les abris de fortune, les dortoirs ou les gymnases, les mal-logés confinés dans des taudis surpeuplés, des foyers, des hôtels, hébergés chez des tiers, les locataires et les habitants modestes, salariés au chômage technique, autoentrepreneurs, sans papiers… sont les plus exposés à l’épidémie et à ses conséquences sociales et économiques. « Le logement est la première ligne de défense contre l’épidémie, et une question de vie ou de mort…le logement est un secteur décisif de la lutte contre le coronavirus[1] ». Le Gouvernement doit prendre des mesures exceptionnelles :

  • Réquisition immédiate -pour les sans-abris, avec ou sans papiers, les réfugiés, les très mal logés, les victimes de violences conjugales et familiales…- des logements vacants de grands propriétaires, des locations Airbnb &Co, des hôtels vacants et des logements sociaux inutilisés ;
  • Moratoire (suspension) des loyers et rétablissement renforcé des APL pour les locataires d’un HLM comme du secteur privé ;
  • Moratoire des factures d’énergie, d’eau, de téléphone et d’internet pour cause de revenus insuffisants ou en baisse ;
  • Arrêt du harcèlement des sans-abris et des mises à la rue qui continuent : expulsions illicites, d’occupants sans titre, d’habitants de foyers, d’hôtels, de CHU, de camping, d’habitat léger ou mobile…

Ensuite il faudra prendre des mesures de fond pour permettre l’accès pour tou.te.s à un logement stable, décent, accessible, bon marché et écologique.

À NOTRE FENÊTRE TOUS LES SAMEDIS À 18H : DU BRUIT POUR LES SANS LOGIS, LES MAL LOGÉS, LES LOCATAIRES ET POUR LE DROIT AU LOGEMENT POUR TOU.TE.S

Un toit c’est un Droit ! Elles et ils lancent la pétition (par ordre alphabétique) :

Ourida Ali Azzouze (Déléguée des mal logés et sans logis), Lila Ameur (Déléguée des mal logés et sans logis), Noureddine Baaboura (UTAC), Josiane Balasko (Comédienne et réalisatrice), Mohamed Ben Said (FTCR), Franck Briand (Paris Vs BnB), Jacques Capet (DAL HLM Nanterre), Jean-François Chalot (CNAFAL), Mouhieddine Cherbib (CRLDHT), François Chovet (Conseil de Quartier Montorgueil-St Denis, 75002), Rhina Constable (DAL HLM IdF), Ahmed El Boghdady (Locataire HLM en suroccupation 75020), Jean-Baptiste Eyraud (DAL), Jean-Paul Fantou alias Clocheman (Ecrivain), Falikou Fofana (Délégué des mal logés et sans logis), Jacques Gaillot (Evêque), Claire Grover (Bagagérue), Diabe Kamara (DAL HLM IdF), Aicha Koné (Déléguée des occupants 18 rue du croissant 75002), Kpidrin Kouassi (Délégué des mal logés et sans logis), Karima Lachkar (Représentante des locataires expulsés 11 rue Bourgon 75013), Paul Lacoste (HALEM), Madani Marzuk (Militant associatif des quartiers), Azeddine Merakchi (Délégué des occupants du 18 rue du croissant 75002), Didier Pargade alias Chaussette (Militant du logement et des chômeurs), Willy Pelletier (Fondation Copernic), Annie Pourre (No Vox International), Mohamed Ragoubi (Militant des quartiers populaires), Pierre Richard (Comédien et réalisateur), Alfred Spira (Médecin épidémiologiste), Tarek Toukabri (ADTF), Marina Vlady (Comédienne et écrivain), Anita Weber (Retraitée des Affaires Culturelles), Jacek Wozniak (Artiste peintre, dessinateur).

Rejoints rapidement par : Carole Bouquet (Actrice), Eric Beynel (Solidaires), Cie Jolie Môme (Troupe de théâtre), Cécile Gondard Lalanne (Solidaires), Patrick Mony (AFVS), Etienne Pinte (Président du CNLE), Sanseverino (Chanteur guitariste)

* (C) Pétition : Solidarité européenne avec les coronabonds

4.612 signatures sur 5.000 lien pour signer

Pour : Membres de l’Eurogroupe
L’Europe et le reste du monde traversent une crise sans précédent. Chaque État membre de l’Union européenne est touché par le COVID-19. Ce n’est pas le moment d’aller dans des directions différentes. L’Europe doit agir ensemble en ce moment historique pour s’assurer que personne n’est laissé pour compte. C’est pourquoi les coronabons sont si importants.L’Union européenne est un projet politique créé pour surmonter les difficultés, basé sur la solidarité entre les citoyens de ce continent. Notre projet commun est mis à l’épreuve par notre capacité à agir ensemble et à surmonter ensemble cette crise. Notre avenir réside dans une reprise économique européenne.

Après des années d’austérité et de sous-financement des services publics de base, de nombreux systèmes de santé européens ont dépassé les limites de leurs capacités. Les médecins ne devraient jamais avoir à décider qui peut vivre et qui ne peut pas. Des investissements publics sont donc nécessaires de toute urgence. Investissements dans les soins de santé, investissements dans les produits de première nécessité, investissements dans la sécurité sociale. Les coronabonds rendent ces investissements possibles. Les coronabonds sont un instrument de financement des investissements publics que tous les pays de la zone euro devront engager pendant et après la crise. Les obligations permettraient à l’Union européenne d’émettre une dette publique commune dont les risques seraient supportés conjointement par tous les pays de la zone euro. Une crise qui ne connaît pas de frontières exige des mesures d’unité et de solidarité.

Si l’Union européenne ne gère pas cette crise ensemble, nous assisterons à une augmentation des inégalités, à un chômage de masse et à de grandes difficultés de financement des soins de santé et des autres services publics dans toute l’UE. Cela mettrait en péril l’ensemble du projet européen, pour lequel tous les Européens paieraient un prix immense. Tous les pays européens sont dans le même bateau pendant cette crise. Une réponse et une relance communes sont dans l’intérêt de l’Europe tout entière, en particulier des personnes ordinaires dont l’emploi et la sécurité économique sont menacés si nous n’agissons pas rapidement. Il est temps que les décideurs européens envoient un message clair aux citoyens : "L’Europe fera face à cette crise et la surmontera ensemble". C’est une question de nécessité, de solidarité et de survie. Nous demandons donc l’introduction urgente des coronabonds émis par l’Union européenne afin de financer notre réponse commune à la crise.

* (E) Pétition : Mobilité : il faut moins de voitures !

117.871 signatures sur 150.000 lien pour signer

Au gouvernement et à l’UE : Madame, Monsieur, L’électromobilité n’est pas respectueuse de l’environnement ni climatiquement neutre. Elle nécessite d’énormes quantités d’électricité, dont la production écologique est loin d’être garantie. La fabrication de voitures électriques nécessite de grandes quantités de métaux et d’autres matières premières, qui doivent être presque intégralement importées de pays tropicaux et de zones de forêts tropicales.

L’électromobilité ne conduit pas au recul du trafic routier, comme en témoignent le nombre en augmentation constante d’immatriculations de véhicules et l’encombrement croissant du réseau routier. Nous vous demandons de réduire le nombre de voitures et le trafic routier. Les populations devraient pouvoir atteindre leur destination de manière rapide et sécurisée à pied, à vélo, en bus ou en train.

Merci de développer des concepts de mobilités efficaces qui profitent réellement aux hommes et à la nature. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : TOTAL : stop au projet pétrolier Tilenga en Ouganda

181.333 signatures sur 200.000 lien pour signer

Au Président de l’Ouganda, Yoweri Museveni, et aux dirigeants de TOTAL, Tullow Oil, CNOOC, CCCC et Exim Bank of China

Monsieur le Président, Madame, Monsieur, la région qui entoure les chutes de Murchison est un joyau de l’Afrique. Les divers écosystèmes du rift Albertin abritent 500 autres espèces animales dont certaines emblématiques comme le lion, l’éléphant et l’hippopotame. Chaque année, des milliers de touristes venus du monde entier visitent les chutes de Murchison, procurant des revenus substantiels à la population locale et à l’Ouganda dans son ensemble.

Ce trésor naturel unique et les moyens de subsistance de la population sont toutefois menacés si le projet pétrolier Tilenga et la réalisation des infrastructures y afférents se poursuivent. Leur mise en œuvre affecterait également le secteur du tourisme tout comme la réputation de l’Ouganda, considéré jusqu’ici comme un pays soucieux de la protection de la nature et du climat. Les premiers dommages sont déjà visibles, puisque l’extension des routes à travers le Parc national Murchison Falls a déjà commencé.

Nous vous demandons de laisser le pétrole là où il est. Merci de mettre fin au projet Tilenga ainsi qu’à tous les projets liés à l’activité pétrolière, tels que la construction de routes. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Madame, Monsieur, l’expression de notre profond respect.

* (C) Pétition : Stop au travail des enfants pour le chocolat !

219.870 signatures sur 250.000 lien pour signer

À la Ministre fédérale allemande de l’Alimentation et de l’Agriculture, Julia Klöckner

Madame la Ministre, le chocolat cache une sombre réalité : 1,2 million d’enfants travaillent dans des plantations de cacao, les ouvriers agricoles ne touchent pas un revenu suffisant pour vivre et les forêts sont détruites au profit de nouvelles plantations. Malgré plusieurs décennies d’initiatives volontaires, la filière cacao mondiale ne s’est guère empressée à attaquer ces questions urgentes.

Une réglementation de l’UE est indispensable pour instaurer un changement à l’échelle de la filière et pour que tous les acteurs soient tenus responsables de leur conduite environnementale et sociale. En tant que principale exportatrice, transformatrice et consommatrice de cacao, l’UE pourrait entraîner toute la filière cacao à réguler ses importations à sa suite. Ceci viendrait compléter la réglementation déjà en place en matière de chaîne d’approvisionnement dans les secteurs du bois, de la pêche et des mines.

Une approche réglementaire peut également présenter de solides avantages pour les producteurs. Ils pourraient ainsi respecter les droits humains et préserver l’environnement sans craindre une sous-cotation des prix par leurs concurrents au détriment de la durabilité. Lors de la Conférence mondiale sur le cacao de 2018 à Berlin, la déclaration finale a conclu que « le respect volontaire n’a pas eu d’impact suffisant » et que des « mesures réglementaires potentielles prises par les gouvernements » sont nécessaires. Les consommateurs européens veulent s’assurer que le chocolat qu’ils achètent :
– est exempt de violations des droits humains, y compris de travail des enfants et de travail forcé ;
– fournit un revenu suffisant aux ouvriers agricoles pour nourrir leurs familles ;
– ne résulte pas de la déforestation et de la destruction environnementale.

La France s’est déjà déclarée en faveur d’une loi de l’UE sur le cacao. Il est temps que l’Allemagne prenne le relais. Malgré des signaux positifs de certaines agences gouvernementales allemandes, le ministère fédéral de l’Alimentation et de l’Agriculture (BMEL) n’a manifesté aucun intérêt apparent à soutenir une loi qui protègerait les enfants et notre planète. Merci d’agir pour protéger les enfants, les populations rurales et l’environnement dans les pays producteurs de cacao et de plaider pour une règlementation de l’UE vis-à-vis de la filière cacao mondiale. Nous vous prions d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de notre haute considération.

* (E) Pétition : Aidez-nous à sauver la forêt pluviale du Mulu !

222.935 signatures sur 250.000 lien pour signer

Au Premier Ministre de la Fédération de Malaisie et au Ministre en chef de l’Etat du Sarawak

Monsieur le Premier ministre,Monsieur le Ministre en chef, La forêt pluviale est en train d’être détruite à proximité immédiate du Parc national du Gunung Mulu pour établir des plantations de palmiers à huile. Ces défrichements, réalisés contre la volonté des communautés locales Penan et Berawan, menacent la biodiversité dans la zone voisine, pourtant classée au patrimoine mondial de l’Unesco.

Le gouvernement malaisien ne respecte pas sa promesse de ne plus laisser détruire de forêt tropicale au profit des cultures d’huile de palme. Mais il n’est pas trop tard pour empêcher cette catastrophe. Merci d’annuler sans plus attendre les concessions déjà octroyées et d’adopter un moratoire interdisant toute nouvelle plantation de palmiers à huile.

Merci de soutenir le combat des Penan et des Berawan en mettant fin aux déboisements dans l’exceptionnelle forêt pluviale du Mulu. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier ministre, Monsieur le Ministre en chef, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition À l’UNESCO : inscrivez les grands singes au patrimoine mondial !

296.123 signatures sur 300.000 lien pour signer

Madame la Directrice générale, Madame, Monsieur,

Les différences génétiques entre l’homme et les grands singes hominoïdes sont très minces. Nous partageons ensemble une histoire évolutive commune de plusieurs millions d’années. Pourquoi laissons-nous nos plus proches parents disparaitre dans l’indifférence ?

Les grands singes devraient être reconnus comme des membres de notre propre généalogie / famille. Nous demandons en conséquence à l’UNESCO de déclarer les quatre espèces de grands singes - bonobo, orang-outan, chimpanzé et gorille - comme « PATRIMOINE MONDIAL VIVANT ».

Nous vous prions de croire, Madame la Directrice générale, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre respectueuse considération

* (E) Pétition : Stop au diesel à l’huile de palme et de soja, MAINTENANT !

201.172 signatures sur 250.000 lien pour signer

Au Président de la République et au gouvernement français
Monsieur le Président,Madame la Ministre, Monsieur le Ministre,

Le carburant de nos stations-services contient toujours plus de biodiesel produit à partir d’huile de palme et d’huile de soja. Nous demandons au gouvernement d’engager une suppression immédiate de l’huile de palme et de l’huile de soja dans le carburant au niveau national.

La culture de palmiers à huile et de soja est la principale responsable de la https://www.sauvonslaforet.org/petitions/1182/mobilite-il-faut-moins-de-voitures?mtu=438165224&t=5650destruction des forêts tropicales et anéantit la biodiversité. Le biodiesel est jusqu’à trois fois plus nocif pour l’environnement que le diesel fossile. Nous ne voulons pas d’huile de palme et d’huile de soja dans nos réservoirs !

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, l’expression de notre très haute considération.
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* (C) Pétition : Fermez les centres de rétention administrative !

10.794 signatures sur 20.000 lien pour signer

Depuis le début de l’épidémie de covid-19, le nombre de sans-papiers dans les centres de rétention administrative (CRA) a certes diminué, eu égard au risque majeur reconnu que la promiscuité de l’enfermement représente en temps d’épidémie. Mais leur insalubrité, le défaut d’entretien et l’absence de matériel ont eu pour conséquence que plusieurs personnes ont été infectées. Et en outre, il est notoire que la prise en charge médicale autant que la vigilance sanitaire y sont soit inexistantes, soit, dans le meilleur des cas, défaillantes et tardives, ainsi qu’en attestent tous les acteurs (y compris policiers) autant que les associations présentes sur ce terrain.

La vie des personnes « retenues » est ainsi mise en danger alors que les perspectives de refoulement sont nulles, puisque, indépendamment de la légitimité des renvois, totalement contestable, leur réalisation est devenue impossible par suite même des ordres de confinement. Le ministre de l’intérieur s’est vanté d’avoir réussi à mettre en œuvre des bannissements, ce qui n’a pu avoir pour conséquence inévitable que la diffusion du virus.

Cette politique, criminelle à tous égards, doit cesser immédiatement. Les centres de rétention doivent être fermés sans délai comme y invitaient dès le début du confinement la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté et le Défenseur des droits. Et comme ne cessent de le réclamer non seulement les associations de défense des droits, mais les différents professionnels qui y interviennent.

Cette situation met en évidence le caractère punitif d’un dispositif qui peut durer jusqu’à 90 jours alors qu’il était fixé à 12 jours… au début de ce siècle. Cette dimension strictement punitive à l’encontre de personnes qui n’ont commis aucun délit, et susceptible de les exposer, dans la période actuelle, à un risque de mort, est encore aggravée, aussi bien psychologiquement que judiciairement, par le fait que les sortants de prison ayant intégralement purgé leur peine sont systématiquement placés en centre de rétention sans aucune perspective autre que celle de leur enfermement.

Dans un pays où – pour la première fois de son histoire – bibliothèques, librairies, théâtres, cinémas et musées sont fermés, les pouvoirs publics semblent ainsi considérer que les centres de rétention constituent un rouage essentiel d’une sécurité des frontières dont il est inenvisageable de se priver, au détriment même de la sécurité sanitaire non seulement des retenus, mais de tous ceux qui sont exposés à les prendre en charge et, au-delà, de tous ceux que les foyers infectieux constitués par la mesure même de l’enfermement peuvent menacer, c’est-à-dire nous tous.

Nous appelons à la fermeture immédiate de tous les centres de rétention administrative et nous demandons que s’engage une réflexion afin de déterminer si leur réouverture après la fin de la présente crise est opportune, au regard des critiques multiples et largement argumentées, nationales et internationales, dont ils ne cessent de faire l’objet.

* (C) Pétition : Coronavirus : nous devons aider l’Afrique ! Appel à la solidarité mondiale

18.458 signatures lien pour signer

À problème mondial, il faut une réponse mondiale ! Nous sommes tous déjà très affectés par cette pandémie de COVID-19. Nos familles, nos proches sont parfois malades et nous nous sentons tous à risque. Mais nous devons être solidaires. Nous devons être solidaires en France, mais aussi en Europe et au niveau mondial. Or, il est un continent qui est plus à risque : l’Afrique. 40 pays sur 54 sont concernés, avec environ 990 cas confirmés en date du 23 mars 2020. Même l’Organisation mondiale de la Santé prévient qu’il faut s’attendre au pire dans les pays africains.

Selon le directeur général d’ALIMA, Augustin Augier, « en Afrique, les populations sont affaiblies et il n’y a pas assez de médecins. Il est à craindre que les taux de mortalité seront 3 à 5 fois plus élevés qu’en Europe ou en Asie ». En effet, pour la seule Afrique de l’Ouest, il y a 20 fois moins de lits d’hospitalisation qu’en France, et 50 fois moins de médecins par habitant qu’en France. Au-delà de la réponse médicale, le confinement, seule autre arme pour lutter, posera un véritable problème de survie pour beaucoup de personnes en Afrique. Une grande partie de la population doit travailler hors de la maison, n’a pas de réserves bancaires et ne peut pas faire de télétravail. Les Etats n’ont pas de moyens pour venir en aide.

La vague du coronavirus touche nos pays mais elle arrive en Afrique et les besoins en masques, en médicaments et en personnels seront colossaux. Pour arriver à lutter contre le COVID-19 en Afrique, il faut un gigantesque effort de solidarité. De plus, si le virus continue de circuler dans certains pays, le risque de réintroduction en France et ailleurs sera toujours présent. En signant cette pétition, vous manifestez votre solidarité envers les plus vulnérables au COVID-19 et participez à la lutte mondiale contre cette pandémie pour envoyer du matériel de protection et des médicaments pour aider le personnel soignant en Afrique !
ALIMA - L’Alliance Médicale pour l’Action Internationale

* (C) Pétition : Vaccin coronavirus-Pour que l’Afrique ne soit pas les cobayes du monde !

20.568 signatures sur 50.000 lien pour signer

Auteur(s) : Génération Y Destinataire(s) :Organisation Mondiale de la Santé (OMS)

Le coronavirus touche très sévèrement l’Asie, l’Europe, et les États-unis où les nombres de cas confirmés et de morts se comptent par milliers. Mais la situation de l’Afrique est totalement différente où le nombre de cas ne dépasse pas les milliers et où on ne compte pas plus de 100 morts à l’heure où j’écris ce texte. La pandémie mondiale en cours « Covid-19 » a créé tellement de changements et de révélations alors que celle-ci est loin d’être terminée, on peut parler du nombre de morts minimisé par beaucoup de pays, ou du manque de matériels pour les équipes médicale en première ligne ou encore des businessmans qui n’hésitent pas à détourner des commandes destinées à des pays dès lors la marchandise arrivée, en les achetant 3 fois plus chère que le prix initial.

Tout cela reflète de façon minime l’incompétence et la dangerosité de nos dirigeants mais le pire n’est pas là. Aujourd’hui à la télévision française sur LCI deux « spécialistes » discutaient sur un vaccin loin d’être au point mais en cours de préparation et c’est à ce moment que sous les yeux de milliers de téléspectateurs une chose horrible a été révélée je cite « si j’peux être provocateur, est-ce que on ne devrait pas faire cette étude en Afrique ? ».L’étude en question serait de tester le vaccin sur la population Africaine qui compte largement moins de cas que partout ailleurs dans le monde, ce qui paraît complètement illogique si le but est de mesurer l’efficacité de ce vaccins, car il ne faut pas être scientifique pour savoir que pour avoir des résultats fiables, il faut beaucoup de cas c’est-à-dire de patients atteints du Covid-19, ce qui n’est pas le cas en AFRIQUE.

Cette pétition a pour but de protéger la population Africaine, qui, par manque de moyens médicaux et d’informations pourrait se ruer sur ce nouveau « vaccin » dont personne ne connaît les effets indésirables.S’il vous plaît, partagez cette pétition, soyez acteurs et non spectateurs du monde de demain.

* (E) Pétition : Le Botswana veut réautoriser la chasse aux éléphants !

252.298 signatures sur 300.000 lien pour signer

Au Président de la République du Botswana

Monsieur le Président, le Botswana était jusqu’à présent considéré comme un refuge pour les éléphants. Il jouissait d’une bonne réputation auprès des défenseurs de l’environnement et des touristes participant aux safaris. Nous constatons avec inquiétude que la population des éléphants s’effondre en Afrique et que les braconniers sévissent de plus en plus au Botswana. Malgré cela, vous envisagez de lever l’interdiction de la chasse en vigueur depuis 2014 et de mettre en place un abattage régulier (culling).

Nous vous demandons de rejeter les propositions de votre commission sur la réforme de la protection des éléphants. Des mesures telles que la levée de l’interdiction de la chasse et l’abattage systématique ne menacent pas uniquement la population d’éléphants, mais nuisent également à la réputation de votre pays et au très lucratif tourisme du safari. Les éléphants ont besoin de la meilleure protection possible. Nous vous exhortons en conséquence à :

  • Maintenir l’interdiction de la chasse.
  • Cesser l’abattage ciblé.
  • Lutter contre le braconnage.
    Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : Faisons barrage pour la réserve de Selous en Tanzanie

294.135 signatures sur 300.000 souhaitées lien pour signer

Au Président de la Tanzanie John Pombe Joseph Magufuli
La réserve de gibier de Selous est un trésor écologique avec ses éléphants et ses lions. Merci de préserver ce site inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Avec ses troupeaux d’éléphants et ses girafes traversant la savane, ses hippopotames pataugeant dans des eaux peu profondes, ses lions se faufilant entre les herbes à l’affût de proies et ses rhinocéros noirs récemment observés par des biologistes, la réserve de gibier de Selous regorge de vie. Mais un désastre écologique la menace aujourd’hui : le projet de barrage de Stiegler Gorge doit être construit sur le fleuve Rufiji en plein cœur du site inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Le Président John Magufuli veut raser 2,6 millions d’arbres. 1 500 km² de forêt en passe d’être submergés par le lac artificiel doivent être déboisés. Le gouvernement vient d’octroyer en décembre 2018 le permis de construire du barrage à un consortium égyptien.

Des écologistes s’opposent au projet. Ils redoutent la destruction définitive de la zone protégée déjà dégradée. Une mine d’uranium menace déjà de détruire une partie de la réserve. La population d’éléphants s’est effondrée. L’UNESCO a donc placé en 2014 la réserve de Selous sur la liste du « patrimoine mondial en péril ». En février, elle a envoyé une lettre incendiaire au gouvernement – sans effet. Le barrage provoquerait des dommages en aval jusqu’au delta et dans les forêts de mangroves, affectant 200 000 habitants. La construction doit débuter à l’été 2019, bien que le financement reste à préciser. Le président Magufuli veut apparaître comme un homme d’action non soucieux de la critique. Un membre du gouvernement a même menacé de prison des opposants au projet. La population de Tanzanie a besoin d’un meilleur approvisionnement en électricité. Mais le projet de barrage de Stiegler Gorge n’est pas une solution. Non au sacrifice de la réserve de Selous pour un projet insensé ! Merci de signer et partager notre pétition au plus vite.

* (C) PÉTITION NATIONALE POUR METTRE LE COMPTEUR #LINKY HORS D’ÉTAT DE NUIRE.

168.526 signatures,Par stoplinkyblc Lien pour signer
Pétition adressée à M. Emmanuel MACRON

Monsieur le Président, le déploiement des compteurs/capteurs connectés LINKY constitue une atteinte aux droits de l’homme et les prochaines actions en justice collectives pourraient permettre de confirmer plusieurs infractions au droit pénal, code de la consommation, droit communautaire, code des assurances.

Cet appareil ne peut pas être considéré comme un simple compteur. Il a une fonction indissociable et non désactivable de capteur de données personnelles qui en fait de facto un appareil de surveillance au regard de la loi. Par ailleurs, le Linky nous est imposé et constitue de fait une vente forcée. Pour justifier le concept, les pouvoirs publics nous disent ceci : « les données sont récupérées mais elles ne sont utilisées qu’avec l’accord du client. » Par défaut, c’est le contraire qui doit prévaloir : aucun capteur ne doit permettre de récupérer des données y compris par les lignes électriques privées, sauf dans le cadre d’un nouveau contrat de vente signé par le consommateur avant la pose du compteur, lequel doit en outre bénéficier d’un délai de rétractation en vigueur lors de toute vente à domicile, ce qui n’est pas le cas. De plus, il provoque une pollution électromagnétique du fait des communications CPL incessantes dans toutes les lignes électriques de notre habitat qui ne sont pas prévues dans nos contrats d’électricité.

En France, nous aurions pu décider comme huit pays Européens de ne pas généraliser ce dispositif. Pour répondre aux recommandations de l’Europe, nous aurions pu choisir de coupler la génération de compteurs précédant le Linky à l’ADSL. Les pouvoirs publics et ENEDIS ont préféré un système permettant l’intrusion et la récupération de données au profit du Big data et en négligeant la santé. De plus on a transformé une recommandation en obligation, mais seulement pour ENEDIS. Les usagers eux ne sont pas légalement obligés d’accepter : nous pouvons donc refuser sans craindre de sanction d’aucune sorte malgré la désinformation, voir le harcèlement téléphonique pour ceux qui refusent, tout ceci orchestré de façon inadmissible et jusqu’au ministre de l’Ecologie (qui a changé d’avis depuis qu’il est au gouvernement), qui menace par écrit d’une éventuelle fin de la gratuité de la relève des compteurs pour les usagers récalcitrants ! Tous ces éléments constituent une pose forcée (parfois de manière agressive) de ce capteur connecté qu’il est impossible à l’usager de désactiver, et font la démonstration du mépris que portent les pouvoirs publics vis-à-vis de la population. De plus, des préfets et ENEDIS saisissent le tribunal administratif pour faire annuler les délibérations municipales de refus des plus de 500 maires courageux et responsables.

Les risques pour la santé sont sérieux  : les experts indépendants sont considérés comme des empêcheurs et on préfère conserver des normes excessives qui permettent d’ajouter légalement de nouvelles émissions d’ondes électromagnétiques avec le Linky, les autres compteurs communicants et la 5G au lieu de les réduire ! (L’Allemagne a un seuil de 0.1µt, la France : 6.25µt !). Il suffit de constater sur quelle base a été reconduit le glyphosate en Europe pour soupçonner leur légitimité. Du coup, on nous dit qu’il n’y a pas de nocivité : à l’époque l’amiante n’était pas reconnue comme nocive ! Les pouvoirs publics disent que le Linky n’émet pas plus qu’un téléviseur (en réduisant la comparaison au seul boîtier Linky). C’est omettre de dire que la principale problématique vient de la diffusion incessante de données CPL dans toutes les lignes électriques des habitats. Résultat : comme elles ne sont pas blindées, elles se transforment toutes en antennes émettrices d’ondes électromagnétiques 24h/24 et 7j/7. Le CSTB et l’ANFR le démontrent par des mesures prises chez plusieurs habitants en condition réelle de fonctionnement. Ces nouvelles émissions s’ajoutent aux autres (2G, 3G, 4G, Wifi), dont le cumul est nocif pour la santé humaine, et pourrait créer des changements irréversibles dans l’organisme humain (DC Paul Héroux, rapport Bioinitiative…).

Le coût du déploiement se chiffre à presque 6 milliards d’euros sans compter le bilan financier et écologique de la mise au rebut des 35 millions de compteurs en parfait état de marche et qui ont une durée de vie 5 fois supérieure au Linky. Il faut compter aussi la consommation électrique des Linky, des concentrateurs et des Data center dédiés. Les bénéfices pour les usagers seront négligeables, au contraire, dans bien des cas, ils doivent prendre un abonnement plus élevé. Le rapport de la cour des comptes 2018 confirme que les consommateurs n’y trouveront aucun bénéfice réel et que la gratuité annoncée du remplacement du compteur n’est qu’un trompe l’œil !

Les risques de piratages individuels peuvent faciliter des cambriolages et les risques collectifs peuvent se traduire par des coupures d’électricité de plus ou moins grande ampleur. Des hackers en ont démontré la faisabilité avec des compteurs connectés dans d’autres pays. Les compteurs qu’ENEDIS veut remplacer ne sont pas piratables !Les journaux régionaux font état d’incendies et aucune information officielle sur internet n’est disponible à ce sujet.

Les citoyens sont obligés de faire eux-mêmes le travail d’information en créant des collectifs, blogs et pages Facebook, et en tenant des réunions publiques alors que les médias nationaux sont aux abonnés absents dans le travail d’investigation qui est le leur.

Tous ces éléments nous conduisent à vous demander de faire cesser immédiatement les déploiements du Linky et des autres compteurs communicants. Les communications CPL intrusives des Linky et des concentrateurs déjà posés doivent être désactivées et l’usage du CPL abandonné. Dans un deuxième temps, les usagers devront pouvoir demander un remplacement du Linky sans aucuns frais. Les compteurs communicants installés dans les lieux fréquentés par les enfants (crèches, écoles, lycées…) devront être remplacés systématiquement et le Wifi sur Off.

Tous les éléments évoqués ici sont visibles en détail sur le blog : https://stoplinkyblc.blogspot.fr/ et sur les blogs et pages Facebook des 300 collectifs de France.

Veuillez croire M. le Président, en l’assurance de nos sentiments les meilleurs, et soyez sûr de notre attachement à la préservation de notre santé et de nos libertés.

Le collectif Stoplinkyblc.

* (E) Pétition : La Chine ne peut pas faire ça !

250.354 signatures sur 300.000 lien pour signer

Au gouvernement de la République populaire de Chine, Monsieur le Président, Madame, Monsieur,
Nous sommes consternés de prendre connaissance de la volonté du gouvernement chinois d’autoriser à nouveau le commerce d’os de tigre et de cornes de rhinocéros, et ce à des fins « médicales et scientifiques ». Il n’existe aucune preuve scientifique de l’efficacité médicale de ces produits d’origine animale. Cette décision envoie un signal fatal aux braconniers et constitue un coup dur pour la protection des espèces animales menacées au niveau mondial. Elle pourrait signer leur arrêt de mort. L’expérience de l’ivoire montre qu’il est quasi impossible de dissocier les produits légaux et illégaux. Merci de maintenir l’interdiction totale de ce commerce. Nous vous prions de croire, Monsieur le Président, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre considération et de notre vigilance citoyenne.

* (E) Pétition : Ne sacrifiez pas les récifs coralliens à l’industrie du tourisme !

241.403 signatures sur 250.000 lien pour signer

Aux dirigeants de Royal Caribbean, Carnival, MSC, Disney et autres compagnies de croisières

Madame, Monsieur, de nombreux touristes d’Amérique du Nord et d’Europe poursuivent ce rêve de croisière aux Caraïbes : des eaux cristallines, une profusion de poissons multicolores, de sublimes récifs coralliens et des plages magnifiques. Vos entreprises le savent bien et font la promotion de ces voyages à coup d’images paradisiaques. Toutefois, ce rêve pourrait virer au cauchemar si les touristes prenaient conscience que les compagnies de croisières participent à la destruction des écosystèmes qu’ils apprécient tant. C’est notamment le cas aux îles Caïmans.

Le gouvernement des îles Caïmans envisage la construction d’une jetée dans le port de George Town. Nous ne sommes pas sans savoir qu’il est reproché aux compagnies de croisières d’exercer des pressions sur de petits États insulaires comme les îles Caïmans pour construire ce type d’installation portuaire, faute de quoi leurs navires cessent de desservir ces destinations. La construction et le trafic maritime croissant dans des zones écologiquement sensibles pourraient détruire des récifs coralliens uniques. Selon les biologistes marins, il est impossible de déplacer les récifs ou de compenser les dégâts sur un autre site. Ceci signerait la perte définitive des récifs, habitat d’innombrables espèces de poissons, coquillages, éponges et plantes.

La destruction des récifs coralliens et des écosystèmes marins est inacceptable ! Les habitants des îles Caïmans se battent pour leur environnement depuis des années. Aujourd’hui, ils en appellent à l’aide de la communauté internationale. Ensemble, ils demandent :
- Ne soutenez pas la construction d’une jetée dans le port de George Town aux îles Caïmans.
- Ne détruisez pas les récifs coralliens de George Town.
- Ne lancez pas, ne promouvez pas et ne financez pas des projets qui endommagent et détruisent les récifs coralliens, les mangroves et autres écosystèmes marins.
- Soutenez la protection des écosystèmes marins dans les Caraïbes et dans le monde.

* (E) Pétition : Le temps est compté. L’UE doit agir contre la déforestation !

237.063 signatures sur 250.000. Lien pour signer

Saviez-vous que nos habitudes de consommation contribuent à une déforestation massive ? La production de bœuf, de soja, d’huile de palme et de cacao représente 70% de la déforestation mondiale ! Grande importatrice de ces produits, l’UE s’est engagée à arrêter la déforestation d’ici 2020. Elle n’a plus que 20 mois pour agir !
Lettre

À M. Jean-Claude Juncker, Président de la Commission Européenne, Copie aux Vice-présidents Jyrki Katainen et Frans Timmermans et aux Commissaires Cecilia Malmström et Miguel Arias Cañete

L’UE doit rapidement tenir ses engagements contre la déforestation. Un plan d’action de l’UE est urgent pour préserver les forêts et les droits humains.Bœuf, soja, huile de palme et cacao sont les ingrédients de base de produits d’usage courant dans les pays riches : le cacao est transformé en chocolat, l’huile de palme sert à la fabrication de snacks, de produits cosmétiques ou d’essence et plus de 70% de la production mondiale de soja sert à nourrir les animaux dont nous buvons le lait et mangeons la viande. La production de ces ingrédients cause une déforestation mondiale massive, détruisant les forêts en Indonésie, Côte d’Ivoire, Argentine, Brésil et dans de nombreux autres pays boisés. L’expansion des plantations et des fermes est à l’origine d’expulsions, de violence, d’intimidation, de travail forcé, de massacre de communautés locales et d’assassinat d’activistes.L’UE est le deuxième importateur mondial de produits agricoles résultant de la déforestation. La planète a perdu une surface boisée de la taille du Portugal entre 1990 et 2005 à cause de la consommation en UE de produits cultivés sur des terres déboisées, en grande partie de manière illégale.Bien que l’UE se soit engagée à lutter et inverser la déforestation et la dégradation des forêts d’ici 2020, elle n’a encore pris aucune mesure pour freiner les effets désastreux de la consommation de ces biens.Dans 20 mois seulement, nous serons en 2020 : il faut agir maintenant !Signez cette pétition pour demander au Président de la Commission Européenne de tenir ses engagements à arrêter la déforestation et de proposer en conséquence un plan d’action pour protéger les forêts et les droits de leurs habitants. Ce plan devra garantir qu’aucun produit ou qu’aucune transaction financière liée à l’UE ne conduise à la déforestation, à la dégradation de forêts ou à des violations des droits humains.

* (E) Pétition : Le Ghana ne doit pas vendre sa nature à la Chine !

171.390 signatures sur 200.000 . Lien pour signer
Au Président et au Vice-Président de la République du Ghana

Monsieur le Président, Monsieur le Vice-Président, votre pays possède avec la forêt tropicale de montagne d’Atewa un des plus importants trésor naturel d’Afrique de l’Ouest. Elle abrite des espèces animales et végétales extrêmement rares sur le continent, dont certaines endémiques. En novembre 2017, des chercheurs de l’organisation environnementale A Rocha Ghana y ont découvert le Mangabey couronné, une espèce de primate menacée d’extinction. Ce fait remarquable ravive l’espoir de découvrir d’autres espèces, dont nous ne soupçonnons même pas encore l’existence, dans les denses régions de forêt de montagne. Nous vous exhortons à ne pas compromettre cette richesse et ainsi à renoncer à tout projet qui mettrait en péril la forêt de montagne d’Atewa pour des considérations purement économiques. Nous vous demandons d’exclure Atewa de l’accord sur la bauxite avec la Chine et de respecter le droit de la population à disposer d’une information complète et donner son consentement, un droit garanti à l’échelle internationale. Les négociations ne doivent plus être menées à huis clos. Grâce à son incroyable biodiversité, la forêt d’Atewa bénéficie depuis 1926 d’une protection à différents niveaux. Procédez sans attendre à la dernière étape en la déclarant Parc national. Faites-le dans l’intérêt des millions de personnes qui vivent grâce aux ressources en eau offertes par Atewa. Faites-le pour protéger cette faune et cette flore uniques au monde. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Monsieur le Vice-Président, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : Stop au commerce d’amphibiens !

179.950 signatures sur 200.000 Lien pour signer

Alerte au champignon tueur : partout sur la planète, d’innombrables amphibiens disparaissent, contaminés par un champignon mortel qui infecte leur peau. Le commerce international de grenouilles et autres amphibiens exacerbe la propagation de l’agent pathogène. Demandons la fin de ce commerce afin d’endiguer cette crise mondiale. La crise qui touche les amphibiens est dramatique : au moins 120 des 7.800 espèces connues ont déjà été décimées par le champignon. L’agent pathogène est considéré comme une menace pour la survie des amphibiens.

Le champignon aquatique Batrachochytrium dendrobatidis (Bd) contamine la peau des amphibiens, altère la respiration cutanée et perturbe les processus métaboliques. Très contagieux et souvent mortel, il décime rapidement des populations entières de grenouilles, de crapauds et de salamandres. Bd est « le pire ennemi des amphibiens », explique le biologiste Dirk Schmeller du Centre Helmholtz de recherche environnementale UFZ à Leipzig, qui a participé à une étude internationale sur le champignon. L’agent pathogène du champignon Bd est originaire de Corée et s’est répandu dans le monde entier. Il touche l’Europe depuis les années 90. Cette propagation a été rendue possible par le commerce international d’amphibiens vendus à des fins de recherche, comme animaux domestiques ou aliments. Le commerce de cuisses de grenouille représente des dizaines de millions de dollars et joue un rôle important à cet égard. Les chercheurs redoutent que de nouvelles lignées de Bd soient propagées par le commerce, car elles pourraient s’adapter aux résistances développées par certaines espèces d’amphibiens.

En Europe, les biologistes sont inquiets pour la salamandre tachetée qui est attaquée par le champignon Batrachochytrium salamandrivorans. L’agent pathogène a déjà conduit à une mortalité massive aux Pays-Bas et se propage rapidement en Belgique et en Allemagne. Les chercheurs redoutent que le champignon traverse l’Atlantique. Il n’a encore jamais été observé en Amérique du Nord, où il pourrait menacer des centaines d’espèces. Pour endiguer l’épidémie, nous demandons l’arrêt du commerce d’amphibiens.

Lettre de la pétition : Au Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Copie à la CITES, l’IUCN, l’OMC et l’Organisation mondiale des douanes

Monsieur le Directeur exécutif Solheim, Madame, Monsieur, des scientifiques constatent une mortalité inquiétante des amphibiens dans le monde. Ce phénomène est dû au Batrachochytrium dendrobatidis, un champignon très contagieux et souvent mortel. Selon les études actuelles, le champignon originaire de la Péninsule coréenne s’est propagé jusqu’en Amérique du Sud et en Europe. Cela a été rendu possible par le commerce international d’amphibiens. Les scientifiques préconisent donc la fin de ce commerce. Nous nous joignons à cette demande fondée sur des données scientifiques. Merci de mettre fin au commerce d’amphibiens ! Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Directeur exécutif Solheim, Madame, Monsieur, l’expression de nos respectueuses salutations.

* (E) Pétition:La plateforme Biofuture, ni propre, ni verte

138.921 signatures sur 150.000 lien pour signer

Aux gouvernements de l’Argentine, du Brésil, du Canada, de la Chine, du Danemark, de l’Égypte, des États-Unis, de la Finlande, de la France, de l’Inde, de l’Indonésie, de l’Italie, du Maroc, du Mozambique, du Paraguay, des Pays-Bas, des Philippines, du Royaume-Uni, de la Suède et de l’Uruguay.

Suivant l’exemple du Brésil, 20 nations ont approuvé une plateforme Biofuture visant à remplacer notre économie basée sur les énergies fossiles par une économie basée sur les biocarburants, la biomasse et d’autres cultures. Alors qu’il est absolument essentiel d’éliminer les énergies fossiles pour protéger notre planète, remplacer ces dernières par de la biomasse n’est pas la transition dont le monde a besoin. De nombreux gouvernements soutiennent déjà le développement des biocarburants, y compris la combustion d’arbres pour générer de l’électricité et les carburants de transport liquides tels que la canne à sucre, le maïs, l’huile de palme et le soja, entre autres.

Cette « bioéconomie » serait élargie pour inclure l’utilisation de culture et d’arbres pour produire des bioplastiques, des produits biochimiques et toute une série de « bioproduits ». Alors que le terme de « bioéconomie » a été communément adopté, cette économie est faussement présentée comme viable et comme une voie durable vers le bas carbone. En réalité, étant donné l’ampleur de la demande en terre et en eau pour la culture de biomasse, les conséquences seraient désastreuses : reconversion de larges étendues de terres au profit de cultures et de plantations, dégradation continue des écosystèmes naturels restants et déplacements forcés de personnes et de la production alimentaire. La popularité de la bioéconomie repose sur la croyance erronée que nous pouvons maintenir une croissance économique et le statu quo en remplaçant simplement les énergies fossiles par des énergies vivantes.

Une bioéconomie telle que prévue par la plateforme Biofuture serait :

- Mauvaise pour le climat : la plateforme Biofuture prône le passage à la bioénergie et aux biomatériaux pour l’énergie, le transport et l’industrie, en ignorant les effets amplement attestés de la demande en cultures et en plantations qui conduirait à la reconversion de vastes étendues de terre. Il est aujourd’hui scientifiquement prouvé que les biocarburants augmentent les émissions de gaz à effet de serre au lieu de les réduire. Il est bien plus efficace d’investir dans la protection et la restauration des écosystèmes. Mais cela ne peut se faire face à d’importantes demandes en cultures et en bois.

- Mauvaise pour les droits humains : la production de biocarburant à grande échelle a déjà conduit à l’accaparement de terres, ainsi qu’à de violentes expulsions, au déplacement de la production alimentaire et à la faim en raison de la hausse des prix des denrées alimentaires, à la destruction de la souveraineté alimentaire et à des violations du droit du travail. La nouvelle demande massive en terres agricoles pour produire la biomasse nécessaire à maintenir une bioéconomie mondiale ne ferait qu’empirer considérablement ces effets négatifs.

- Mauvaise pour la biodiversité : des forêts et des écosystèmes riches en diversité biologique seraient défrichés pour faire place à la production de biomasse, comme cela a déjà été le cas pour les biocarburants à base de maïs, de canne à sucre, d’huile de palme et de soja. Pour protéger la biodiversité nous devons réduire et non pas augmenter notre demande en terres agricoles, ainsi que diminuer notre utilisation d’eau, d’engrais et de produits agrochimiques.

- Néfaste à des solutions réelles et efficaces : si elle est soutenue, la vision de la plateforme Biofuture ne conduirait qu’à la subvention continue des biocarburants et au détournement des investissements et de l’attention qui devraient être consacrés à des solutions réelles et prouvées. Des solutions qui s’avèrent urgentes si nous voulons enrayer la catastrophe climatique.

Les groupes et particuliers soussignés en appellent aux 20 pays et aux organisations multilatérales signataires de la plateforme Biofuture de cesser leur appui. Nous invitons les autres gouvernements à s’abstenir de tout soutien à la plateforme. Au lieu de cela, nous demandons aux gouvernements de proposer des solutions à la crise climatique qui soient viables et équitables, qui respectent les droits humains, privilégient les technologies à faible émission de carbone, réduisent la surconsommation et les déchets et protègent les forêts et les autres écosystèmes.

Lettre complète (en anglais)

* (E) Pétition : Que voulons-nous, de l’or ou des gorilles ?

199.076 signatures sur 200.000 lien pour signer

À Brett A. Richards, PDG de l’entreprise Banro : Monsieur Richards, la réserve naturelle d’Itombwe en République du Congo abrite un grand nombre de gorilles des plaines orientales, menacés d’extinction, ainsi que des chimpanzés, des éléphants de forêt et de nombreuses autres espèces. Cela n’empêche pas l’entreprise Banro de développer un projet de mine d’or dans cette région aussi importante que fragile du point de vue écologique. Le projet est par ailleurs susceptible de détruire les moyens de subsistance de la population locale et de porter atteinte à ses droits. En raison de ces risques écologiques et sociaux, nous vous prions de mettre fin au projet d’exploitation aurifère dans la réserve naturelle d’Itombwe. La survie des gorilles et d’autres espèces menacées ne doit pas être mise en péril. Nous vous prions d’agréer, Monsieur Richards, l’expression de nos respectueuses salutations.

* (E) Pétition :Banque mondiale : ne financez pas la déforestation au Mozambique !

198.351 signatures sur 200.000 lien pour signer

Alerte au Mozambique ! La société Portucel veut défricher 237 000 hectares de forêt, dont d’uniques écosystèmes de miombo, pour établir des plantations d’eucalyptus et une usine de pâte à papier. Pour la population locale, accaparement des terres et appauvrissement. Demandons à la Banque mondiale de ne pas pas financer ce projet.
Afficher la lettre de pétition

Au président de la Banque mondiale et au directeur général de la Société financière internationale (IFC)

Le projet d’usine de pâte à papier et de plantations d’eucalyptus de Portucel au Mozambique serait une catastrophe écologique et sociale. Ne le financez pas ! Les forêts sèches et savanes de miombo d’Afrique australe forment une mosaïque complexe où les biologistes ont identifié plus de 3E00 espèces d’arbres. Sur les 633 espèces d’oiseaux recensées, 11 sont endémiques et n’existent nulle part ailleurs. De nombreuses espèces d’antilope y trouvent leur habitat, ainsi qu’éléphants, girafes et lions. Aujourd’hui, 114 000 hectares de forêts miombo doivent être abattus dans le nord du Mozambique pour faire place à de monotones plantations d’eucalyptus. Pour la nature, l’impact serait dramatique : rupture de la biodiversité, dégradation des sols et perturbation de l’équilibre hydrologique. Ce projet du papetier Portucel laisse aussi peu de place à la nature qu’aux habitants. De nombreux petits fermiers ont perdu leur terre et leurs moyens de subsistance. Toujours plus pauvres, ils ne savent où s’approvisionner en nourriture. Pour la plupart, les promesses de travail et de meilleures conditions de vie restent une illusion. L’usine doit permettre à Portucel Moçambique de produire 1,5 million de tonnes de cellulose pour le marché asiatique. Les plants proviennent de la pépinière de la société, la plus vaste d’Afrique.Les 3 milliards d’euros investis dans le projet sont la preuve que le grand capitalisme arrive au Mozambique. Pas étonnant donc que l’IFC, membre de la Banque mondiale, participe et détienne 20% des parts. L’usine et ses plantations n’est pas le seul grand projet problématique sur le plan écologique et social. Avec le programme ProSavana, le gouvernement étend l’agriculture industrielle à une échelle massive, suivant l’exemple brésilien. Portucel Moçambique a déjà défriché des milliers d’hectares de forêt. Objectif : établir toutes les plantations d’ici à 12 ans. Il n’est donc pas trop tard pour encore sauver de précieuses zones boisées !

* (C) Pétition : #Confinésdehors : Réquisition des logements vides pour reloger les sans-abri

29.781 signatures sur 50.000 lien pour signer

Près de 200 000 personnes vivent aujourd’hui sans abri . A l’heure où le gouvernement demande à toute la population d’être confinée à domicile pour empêcher la propagation du Covid-19, ces femmes, ces hommes et ces enfants ne peuvent pas se proteger du virus car elles et ils n’ont pas de de domicile.

Pour leur santé et la santé de toutes et tous, le président de la République, le gouvernement et les maires des grandes villes doivent prendre immédiatement toutes les dispositions nécessaires pour réquisitionner les logements vacants ainsi que les logements touristiques loués sur des plateformes de type Airbnb

Cette pétition s’adresse au Président de la république et aux Maires des grandes villes : Personne ne doit vivre dehors en période de confinement ! Exigeons la réquisition des logements vacants et des appartements loués sur les plateformes comme #Airbnb pour reloger immédiatement tous les sans abri. Signez, partagez massivement cette pétition, et envoyez là votre parlementaire et votre Maire

* (E) Pétition : Changements climatiques : protégeons nos enfants !

60.204 signatures lien pour signer

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A l’attention des préfets de région, chargés de la protection des populations face aux risques du changement climatique ;

En tant que parents responsables et inquiets pour la vie de nos enfants, nous soutenons par cette pétition les recours en justice engagés à l’encontre de préfets de régions par d’autres parents, pour manquements à l’obligation d’action contre le réchauffement climatique.

En tant que représentants des DREAL, les préfets de région ont pour missions notamment :

  • D’élaborer et mettre en œuvre des politiques de l’État en matière d’environnement, de développement et d’aménagement durables
  • De développer et diffuser la connaissance sur le changement climatique et ses effets sur la population.

D’après le GIEC et l’Accord de Paris, si nous voulons que nos enfants et petits-enfants survivent aux conséquences d’un réchauffement climatique inférieur à 2 degrés d’ici 2100, nous devons baisser de 50 % les émissions de gaz à effet de serre d’ici 11 ans… Et pourtant...Elles augmentent de 3 % par an en France ! A ce rythme, nous allons vers des +3 ou +4 degrés, c’est à dire à la mort d’au moins 75% de l’humanité dans le siècle ! D’autres dangers mortels menacent nos enfants : perte de la biodiversité qui soutient l’équilibre des systèmes agricoles qui devront les nourrir, sécheresses agricoles et carences en eaux potables etc.

En tant que parents, nous refusons de jouer à la loterie pour savoir si nos enfants seront parmi les 25 % de survivants !

Or, en quoi les mesures prises par les préfets de région garantissent une baisse de 50% des GES d’ici 11 ans ? En quoi les préfets de région alertent les populations de ces risques mortels à venir ?

Nous sommes en « guerre contre le climat », c’est le gouvernement qui le dit… Alors Mrs et Mmes les préfets de région, en tant de guerre, vous devez choisir : obéir à Vichy, ou rejoindre la résistance… Les préfets de région ne sont pourtant pas soumis aux bas enjeux des mandats politiques électoralistes, alors pourquoi n’agissez-vous pas plus efficacement ?

Afin d’assurer un avenir à nos enfants, et devant le constat que les politiques de croissance verte sont trop lentes (- 13% d’énergies renouvelables en moins dans la part de l’énergie en 2016) nous vous assurons de notre soutien si vous décidez de mettre en place des mesures radicales d’urgence de protection des populations. Nous sommes prêts à accepter les conséquences économiques et la baisse de notre confort d’un État d’urgence climatique. Mais nous sommes des citoyens informés, et nous ne nous faisons plus bernés par les mots et les discours : nous savons qu’un plan Marshall environnemental digne de ce nom doit obligatoirement contenir dans son programme :

  • Une réduction des productions non essentielles (gadgets hi-tech, emballages plastiques, produits de luxe...), dont la perte en emplois sera compensée par des programmes de reconversion des salariés dans les métiers de la réparation et du recyclage.
  • Une reconversion aux énergies renouvelables des industries fonctionnant encore aux énergies fossiles.
  • Une généralisation du fret de marchandises sur voies ferrées et fluviales et des transports en commun pour les personnes (transports : +11% des GES en 2017 en France).
  • Arrêt des subventions à l’agriculture conventionnelle au profit de l’agriculture de conservation ; limitation des élevages industriels (18% des émissions de GES et gaspillage des eaux potables) et des céréales destinées à ces élevages.
  • Limitation des grands projets immobiliers (bâtiment : +23% des GES en 2017 en France), notamment sur des terres agricoles : l’équivalent d’un terrain de foot de terre agricole disparaît en France toute les 5 minutes ! Protégeons la souveraineté alimentaire de nos enfants !

Aucun programme de transition qui ne reprenne ces points essentiels ne peut être sérieusement reconnu comme tel. Si la vie de nos enfants continue d’être mise en danger pour maintenir une politique économique idéologique fondée sur la croissance au péril de la vie, sans que les préfets n’interviennent, il est à prévoir que certains d’entre nous, par amour pour leurs enfants, prendront eux-mêmes des mesures de protection, et vous ne pourrez alors leur en tenir rigueur, puisqu’ils auront paré à vos manquements...

Avec tout le respect que nous gardons pour l’instant pour la noblesse de vos missions ; Des parents inquiets pour la vie de leurs enfants.

* (C) Pétition : Coronavirus-Déclarer l’état de catastrophe naturelle pour l’indemnisation des professionnels de santé

54.327 signatures sur 100.000 lien pour signer

Nous sommes tous des professionnels de santé et sommes préoccupés par cette épidémie de Coronavirus. Nous avons reçu le message de nos ordres professionnels de stopper tout soin à part les plus urgents et d’organiser un système d’urgence au niveau des cabinets ou centre de ville . Nous souhaitons participer à l’effort national pour maintenir la permanence de soins dans toutes nos structures qu’elles soient publiques ou privées. Cependant nous ne pouvons pas mettre en danger nos patients y compris nous-mêmes si nous ne disposons pas du minimum de matériel nécessaire. En effet, dans le cadre de notre profession, nous sommes en contacts rapprochés avec les patients. Soigner oui, mais PROPAGER le virus, NON . Nous savons qu’il n’ y a pas assez de masques FFP2 et que ces derniers sont destinés en priorité pour les hôpitaux, alors comment pouvons nous assurer nos urgences sans risque ?

De plus , Déclarer l’état de CATASTROPHE NATURELLE permettrait à nos assurances privées ( exemple de contrat type perte d’exploitation) de prendre en charge la perte d’activité lié à l’arrêt de notre activité et à la fermeture de nos cabinets . Permettre également au parent devant garder les enfants de se faire un ARRÊT DE TRAVAIL ACCEPTE PAR NOS PRÉVOYANCES pour compenser notre perte de revenu. Repousser les charges type URSSAF ou CARCSDF est une bonne chose ou nous étaler les paiements mais qu’en est il des autres charges fixes récurrentes chaque mois ?

Suite à la mise en place du tiers payant généralisé qui met déjà notre profession à l’épreuve, nous devons encore faire face à cette difficulté supplémentaire.
Si vous ne faites rien c ’est tout notre système de santé qui , une fois que cette crise sera réglée sera sacrément ébranlé, êtes vous prêts à en assumer les conséquences ? Qui soignera les patients quand nos cabinets ou centres seront fermés ?? Plus nous serons nombreux à signer cette pétition plus nous aurons des chances de nous faire entendre !!!

* (C) Pétition : soutien à Cyberacteurs pour ses 20 ans

3016 participations lien pour signer

Nous nous étonnons que la réception de 2500 messages en 24 heures puisse se faire sans problème chez un simple particulier et constitue un délit d’entrave au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données d’un fonctionnaire de l’Etat dont l’adresse électronique est de notoriété publique.
Solidaires de l’Association Cyberacteurs qui nous permet par ses messages d’inform’@ction d’exercer notre droit de citoyennes et de citoyens et de soutenir l’action de nombreuses ONG depuis 20 ans, nous demandons l’abandon des poursuites à l’encontre de son animateur-trésorier qui œuvre bénévolement pour nous permettre d’interpeller les décideurs économiques et politiques.

* (C) Pétition : Collectif des professionnels de santé de la Réunion

11.445 signatures sur 15.000 lien pour signer

Ensemble signons cette pétition afin que nous puissions obtenir la protection de la population réunionnaise et des collectifs de professionnels de santé, pour cela nous demandons :

  • La mise à disposition de matériels nécessaires et indispensables pour les professionnels de santé afin d’assurer leur protection et celle de leur patients
  • La prise en compte de l’avis des professionnels de sante dans la gestion de la crise
  • Le dépistage systématique des cas suspects et des voyageurs
  • Le confinement obligatoire des voyageurs

* (C) Pétition : Jeunes migrants en danger à la Croix Rousse

5.645 signatures sur 7.500 lien pour signer

Le collectif soutien migrants Croix-Rousse – Collège Sans Frontière Maurice Scève a lancé cette pétition adressée à LA METROPOLE DE LYON et à 1 autre

Exigeons de la Métropole et de la Préfecture de Lyon qu’elles prennent leurs responsabilités pour les jeunes migrants du Collège Sans Frontières Maurice Scève.

Près de 450 mineurs et jeunes majeurs migrants vivent dans des conditions indignes dans l’ex-collège Maurice Scève sur le plateau de la Croix-Rousse, à Lyon. Ils ont connu le drame de l’exil forcé : jetés sur les routes par la guerre, la famine, l’abandon social et les effets du réchauffement climatique, ils ont pour beaucoup connu l’enfer libyen, ont pris tous les risques en Méditerranée, dans l’espoir de trouver asile en Europe.

Le collège est plein à craquer et nous ne pouvons accueillir les nouveaux arrivants qui se présentent chaque jour. La Métropole menace de cesser d’apporter, le 15 novembre, l’aide sommaire que le collectif de soutiens et d’habitants avait obtenu (approvisionnement alimentaire, 9 douches et WC, aide juridique, aide aux travaux) au prétexte que la population du squat augmente. Comme si ses habitants étaient responsables du manque criant de places d’hébergement à Lyon.

La Préfecture ne donne jamais aucune suite aux demandes répétées d’hébergement alors qu’elle en a la responsabilité légale pour les demandeurs d’asile. Les services de la Métropole et de la Préfecture, incapables de proposer un hébergement aux jeunes exilé.e.s dont ils ont légalement la charge, continuent d’indiquer l’adresse du collège comme refuge possible, nous mettant dans une situation de plus en plus difficile à gérer.

Nous, citoyen.ne.s et futurs électeurs et électrices pour les municipales de 2020, appelons la Métropole de Lyon à ne pas abandonner l’aide sommaire qu’elle apportait jusque-là aux habitants du collège. Nous appelons les autorités compétentes (Préfecture, Métropole, Ville de Lyon) à se mobiliser pour apporter des solutions d’hébergement dignes et pérennes pour les demandeurs d’asile, comme la loi l’exige. Signez et partagez cette pétition !
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* (C) Pétition : Actionnaires soyez solidaires !! L’argent ne doit pas être confiné dans les paradis fiscaux

18.138 signatures sur 50.000 lien pour signer

Destinataire(s) : Edouard Philippe (Premier Ministre), Emmanuel Macron (Président de la République)

En cette période étrange et angoissante, nous nous devons, pour pallier aux politiques désastreuses de casse de l’hôpital public, de faire preuve de solidarité. Nous applaudissons chaque soir des « héros » qui, il y a peu, étaient matraqués et gazés sur ordre du gouvernement resté sourd à leurs avertissements et revendications ...

En ces moments qualifiés de « guerre » donc, nous devons nous montrer « patriotes »(?) comme nous le répètent nos dirigeants. Dans cet esprit, nous demandons au Président de la République, d’ordonner aux riches actionnaires des entreprises et multinationales françaises, de suivre l’exemple des « gens qui ne sont rien » et de se montrer « solidaires » à leur tour, en reversant aux hôpitaux publics, les gras dividendes, équivalents à l’ISF qu’ils devraient payer.

Ce geste évident, contribuera sans nul doute, à sauver l’hôpital public et sortir le pays de cette crise sans qu’elle nous soit encore facturée trop cher. Courage à toutes et tous et surtout restons vigilant-e-s pour la suite.

* (C) Pétition Fin des poursuites contre l’héroïne qui a sauvé des vies en mer

460.003 signatures sur 500.000 lien pour signer

Je vous demande de signer cette pétition en geste de solidarité pour tous les collaborateurs courageux et engagés qui risquent la prison. Je lance également un appel au ministre de l’Intérieur italien de droite, Matteo Salvini, pour qu’il acquitte les sauveteurs immédiatement ! S’il vous plaît, aidez-nous à financer le procès coûteux, je vous demande de soutenir financièrement Pia et son équipe

À mes yeux, chaque vie humaine a la même valeur, c’est pourquoi il est indispensable d’aider ceux qui en ont besoin. Nous ne devons pas être obligés de repenser nos concepts moraux à cause de punitions injustifiées possibles ! Le silence n’est plus une option !

Pour une démocratie forte et libérale.

* (C) Pétition : Retrait de la BRAV ( Brigade répression action violente )

20.538 signatures lien pour signer

Auteur : Le pouvoir du peuple 22
Destinataire(s) : Mr Castaner
Nous demandons le retrait de cette unité, qui a fait trop de blessés dans les manifestations. Nous dénonçons leur façon de faire régner l’ordre, violente agressive, humiliante et insultante !

* (C) Pétition : Pour la fin des privilèges des députés et ministres

48.647 signatures lien pour signer

Nous sommes tous dans le même navire et tous d’accord que les ministres et les députés, et sans oublier nos, sénateurs ne devrait pas avoir autant de privilèges. Que leur salaire soit baissé, que les indemnités de logement, voiture, chauffeur, restauration et bien d’autres soient revues à la baisse et que toutes ces économies soit simplement injectés dans le domaine médical (hôpitaux, et les salariés...) mais aussi dans l’éducation nationale par exemple !

Vous en avez marre de ce système ? Cliquez sur cette pétition, faites la grandir et que le changement commence ! Que la France prenne exemple sur d’autres pays voisins dont certains pays nordiques. Messieurs et dames de la politique, ne représentent plus le peuple français.

* (C) Pétition : INDEXATION DES RETRAITES SUR L’INFLATION

277.199 signatures lien pour signer

Pétition adressée à TOUS LES RETRAITÉS AINSI QUE CEUX QUI PEUVENT NOUS AIDER Par FRANCINE VERGON
Monsieur MACRON va supprimer la hausse de la CSG injustement établie pour les retraités ayant une retraite de plus de 1200 euros/mois. Cette suppression concernera les personnes touchant des pensions de - de 2000 euros.
Les retraites n’ont plus été revalorisées depuis avril 2013 ce qui est scandaleux compte tenu de l’augmentation du coût de la vie.
Tous ceux qui ont une pension de retraite de - de 1000 euros par mois sont les grands oubliés des mesures annoncées par MACRON. Beaucoup d entre nous ont du mal, eux aussi, à finir le mois.
NOUS EXIGEONS L’INDEXATION DES RETRAITES SUR L’INFLATION afin que tous puissent vivre un peu plus dignement !

* (C) Pétition : Nous refusons que Total s’implante à Polytechnique

7.721 sur 8.000 signatures lien pour signer

A l’attention d’Eric Labaye, Président de l’école Polytechnique :

10 000 m2 en plein coeur du campus, 250 salariés de Total prévus, c’est du jamais vu ! Dès qu’ils ont pris connaissance de ce projet, une majorité d’étudiantes et étudiants a exprimé son opposition contre le projet. Nous nous joignons à eux pour exprimer notre indignation face à ce projet et vous demandons de refuser immédiatement que Total établisse le site de sa Direction Recherche et Innovation à Polytechnique, et associe son image à la multinationale pétrolière et gazière.

Face à l’urgence climatique, toute institution a un devoir de responsabilité. Polytechnique, une école publique, sous la tutelle du Ministère des Armées, dont la mission première est de former des ingénieur·es qui mettront leurs compétences aux services de l’Etat, de la collectivité, et de l’intérêt général, devrait avoir au moins l’ambition de ne pas légitimer la présence de Total en plein coeur de l’école.

Polytechnique ne peut pas prétendre former ses étudiant.es à construire le futur, tout en ouvrant grand les portes à un acteur qui ne leur en réserve aucun. Total a été historiquement confronté à de multiples allégations de corruption et à la mise en cause de sa responsabilité pour de graves atteintes à l’environnement et aux droits humains. Le dernier rapport du GIEC est sans appel, tout nouveau projet fossile est inadapté au budget carbone conforme aux objectifs de l’accord de Paris. Total prévoit pourtant de les poursuivre ou de les amplifier, notamment dans des pays qui subissent déjà les conséquences les plus dramatiques du dérèglement climatique, comme en Afrique du Sud ou en Mozambique.

Contrairement à son éthique d’excellence, Polytechnique offre en outre son image à un cancre. Total a financé la production d’hydrocarbures pour 9,2 milliards de dollars en 2018 en investissements contre seulement 0,5 milliards dans le secteur décrit comme “bas carbone” à savoir gaz et renouvelables. La légitimité de la Direction de la Recherche et l’Innovation sur les énergies renouvelables de la part de ce géant du pétrole et du gaz est inexistante.

Au contraire, des ressources faramineuses sont mobilisées dans des campagnes de communication et de lobbying, pour duper l’opinion publique et tromper les décideurs. Nous refusons que Polytechnique soit instrumentalisée à ces fins alors que la dynamique pour contrer l’influence de cette industrie n’a jamais été aussi forte, en témoigne la moitié des universités ayant coupé leurs liens avec l’industrie fossile au Royaume-Uni ou les 1150 autres institutions à travers le monde.

Nous demandons :

* L’arrêt du projet de centre de recherche et innovation immédiatement, avant que le chantier de construction du bâtiment débute.

* La suspension de tous les liens avec le géant Total :

* Suspension de Patrick Pouyanné, PDG de Total, du Conseil d’Administration de Polytechnique

* Fin de la chaire d’enseignement et de recherche que Total a négociée dans la foulée en 2018.

* Abandon total du projet : un engagement à ce qu’il ne soit pas transformé discrètement sous une autre forme.

Pour en savoir plus :

* Un rapport de 350.org, les Amis de la Terre et Notre Affaire à Tous dénonce la stratégie du pire de Total et démontre que celle-ci repose sur un scénario prévoyant jusqu’à +3,3°C de réchauffement, mettant ainsi en péril les chances qu’il nous reste de pouvoir enrayer les pires conséquences du dérèglement climatique.

* Lancez une campagne dans votre établissement

* (C) Pétition : Une majorité de citoyennes et de citoyens le demande : retrait de la réforme Macron !

184.481 signatures lien pour signer

Depuis le 5 décembre, des millions d’hommes et de femmes se retrouvent dans les grèves, dont beaucoup en reconductible, et les manifestations à l’appel des organisations syndicales.

Ils et elles rejettent la réforme du système de retraites que veulent leur imposer le président de la République et son gouvernement.

Ce projet n’est pas acceptable, car il est porteur de régression des droits de chacune et chacun : toutes les hypothétiques avancées proposées par le gouvernement devraient être financées par des baisses de pensions ou par l’allongement de la durée de la vie au travail. D’autres choix sont pourtant possibles.

C’est pourquoi nous demandons le retrait du projet présenté par le Premier ministre, afin que soient ouvertes sans délai de vraies négociations avec les organisations syndicales, pour un système de retraites pleinement juste et solidaire, porteur de progrès pour toutes et tous, sans allongement de la durée de la vie au travail.

* (C) Pétition : Pour la démocratisation de l’Europe

118.105 signatures sur 150.000 lien pour signer

Cette pétition vous est adressée par Manon Bouju, Lucas Chancel, Anne-Laure Delatte, Stéphanie Hennette, Thomas Piketty, Guillaume Sacriste et Antoine Vauchez

Manifeste

Nous, citoyens européens venus d’horizons et de pays différents, lançons aujourd’hui un appel pour transformer profondément les institutions et les politiques européennes. Ce Manifeste contient des propositions concrètes, en particulier un projet de Traité de démocratisation et un projet de Budget, qui peuvent être adoptés et appliqués en l’état par les pays qui le souhaitent, sans qu’aucun pays ne puisse bloquer ceux qui souhaitent avancer. Il peut être signé en ligne(www.tdem.eu) par tous les citoyens européens et les citoyennes européennes qui s’y reconnaissent. Il peut être repris et amélioré par tous les mouvements politiques.

Après le Brexit et l’élection de gouvernements anti-Européens à la tête de plusieurs pays membres, il n’est plus possible de continuer comme avant. Il n’est plus possible de se contenter d’attendre les prochaines sorties, les prochains démantèlements, sans rien changer de fondamental à l’Europe actuelle.

Notre continent se retrouve aujourd’hui pris en tenaille entre d’un côté des mouvements politiques dont le seul programme est la chasse aux étrangers et aux réfugiés, un programme qu’ils ont maintenant commencé à appliquer ; et de l’autre des partis qui se disent européens, mais qui au fond continuent de s’imaginer que le libéralisme pur et dur et la mise en concurrence généralisée de tous (États, entreprises, territoires, individus) suffisent à définir un projet politique, sans réaliser que c’est précisément le manque d’ambition sociale qui nourrit le sentiment d’abandon.

Certains mouvements sociaux et politiques tentent de briser ce dialogue mortifère en tentant la voie d’une refondation politique, sociale et environnementale de l’Europe. Car les urgences proprement européennes ne manquent pas au terme d’une décennie de crise : sous-investissement public structurel, notamment dans le domaine de la formation et de la recherche, montée des inégalités sociales, accélération du réchauffement climatique, crise de l’accueil des migrants et des réfugiés. Mais ces mouvements peinent souvent à formuler un projet alternatif concret, c’est-à-dire à décrire précisément comment ils souhaiteraient organiser l’Europe de l’avenir et la prise de décision démocratique en son sein.

Nous, citoyens européens, mettons sur la place publique avec ce Manifeste, ce Traité et ce Budget des propositions précises. Elles sont imparfaites mais ont le mérite d’exister : chacun pourra s’en saisir pour les améliorer. Elles reposent sur une conviction simple : l’Europe doit bâtir pour ses citoyens un modèle original de développement social, équitable et durable, et elle ne pourra les en convaincre qu’en sortant des promesses vagues et théoriques. L’Europe ne se réconciliera avec ses citoyens que si elle apporte la preuve concrète qu’elle est capable d’établir une solidarité entre Européens et de faire contribuer, de manière équitable, les gagnants de la mondialisation au financement des biens publics dont l’Europe a aujourd’hui cruellement besoin : c’est-à-dire de faire contribuer les grandes sociétés davantage que les petites et moyennes entreprises, et les contribuables les plus riches davantage que les plus modestes, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Nos propositions reposent sur la création d’un Budget de démocratisation discuté et voté par une Assemblée européenne souveraine, qui permette enfin de doter l’Europe d’une puissance publique capable à la fois de faire face sans attendre aux urgences européennes et de produire un ensemble de biens publics dans le cadre d’une économie durable et solidaire. C’est ainsi que l’on pourra donner enfin sens à la promesse inscrite dès le traité de Rome d’une « égalisation dans le progrès des conditions de vie et de travail ».

Ce Budget, si l’Assemblée européenne le souhaite, sera financé par quatre grands impôts européens, marqueurs concrets de cette solidarité européenne, qui porteront sur les bénéfices des grandes sociétés, les hauts revenus (au-delà de 200 000 euros par an), les hauts patrimoines (au-delà de 1 million d’euros), et les émissions carbone (avec un prix minimum de 30 euros par tonne, qui a vocation à être réhaussé annuellement). S’il était fixé à 4% du PIB, comme nous le proposons, ce budget pourrait financer la recherche, la formation et les universités européennes, un ambitieux programme d’investissements pour transformer notre mode de croissance, financer l’accueil des migrants et accompagner les acteurs de la transformation ; mais aussi redonner une marge de manœuvre budgétaire aux États membres pour réduire les prélèvements régressifs pesant sur les salaires ou la consommation.

Il ne s’agit pas ici de créer une « Europe des transferts »qui chercherait à prendre l’argent des pays « vertueux » pour le donner à ceux qui le seraient moins, le projet de Traité de démocratisation (www.tdem.eu) le dit explicitement, en limitant l’écart entre les dépenses reçues et les recettes versées par un pays à un seuil de 0,1% de son PIB. Ce seuil pourra être augmenté s’il existe un consensus en ce sens, mais le véritable enjeu est ailleurs : il s’agit avant tout de réduire les inégalités à l’intérieur des différents pays et d’investir dans l’avenir de tous les Européens, à commencer bien sûr par les plus jeunes d’entre eux, sans favoriser un pays plutôt que l’autre. Ce calcul exclut les dépenses et investissements réalisés dans un pays en vue de satisfaire un objectif d’intérêt commun bénéficiant également à tous les pays, comme par exemple la lutte contre le réchauffement climatique. Parce qu’il permettra de financer des biens publics européens qui bénéficieront de manière similaire à l’ensemble des Etats membres, le Budget de démocratisation induira de facto un effet de convergence entre les Etats européens.

Parce qu’il faut aller vite mais aussi sortir l’Europe de l’ornière technocratique, nous proposons la création d’une Assemblée européenne qui permettra de discuter et de voter ces nouveaux impôts européens comme ce budget de démocratisation, sans qu’il soit nécessaire dans un premier temps de modifier l’ensemble des traités européens.

Cette Assemblée européenne devra bien sûr dialoguer avec les instances de décision actuelles (en particulier l’Eurogroupe qui réunit de façon mensuelle et informelle les ministres des finances de la zone euro), mais c’est elle qui, en cas de désaccord, aura le dernier mot. Il en va de sa capacité à être le lieu où se forme un nouvel espace politique transnational où partis, mouvements sociaux et ONG pourront reprendre enfin la main. Mais il en va aussi de son efficacité même puisqu’il s’agit d’arracher enfin l’Europe à l’éternel immobilisme des négociations inter-gouvernementales. N’oublions pas que la règle de l’unanimité fiscale en vigueur dans l’Union européenne bloque depuis des années l’adoption de tout impôt européen et nourrit l’éternelle fuite en avant vers le dumping fiscal en faveur des plus riches et des plus mobiles, qui continue encore aujourd’hui, malgré tous les discours, et qui continuera tant que d’autres règles de décision n’auront pas été mises en place.

Parce que cette Assemblée européenne aura compétence pour adopter des impôts et rentrer au cœur même du pacte démocratique, fiscal et social des Etats membres, il importe d’y associer parlementaires nationaux et européens. En accordant aux premiers une place centrale, on transformera de facto les élections législatives nationales en élections européennes : les députés nationaux ne pourront plus se contenter de se défausser sur Bruxelles, et n’auront d’autre choix que d’expliquer aux électeurs les projets et budgets qu’ils comptent défendre au sein de l’Assemblée européenne. En réunissant les parlementaires nationaux et européens au sein d’une même Assemblée, on créera des habitudes de co-gouvernance, qui n’existent aujourd’hui qu’entre chefs d’État et ministres des finances.

C’est pourquoi nous proposons, dans le Traité de démocratisation disponible en ligne (www.tdem.eu), que l’Assemblée européenne repose pour 80% de ses membres sur les députés des Parlements nationaux des pays qui rejoindront le Traité (en proportion des populations des pays et des groupes politiques), et pour 20% des membres de l’actuel Parlement européen (en proportion des groupes politiques). Ce choix mérite une ample discussion. En particulier, notre projet pourrait également fonctionner avec une proportion plus faible de députés nationaux (par exemple 50%). Mais si cette proportion devenait trop faible, alors l’Assemblée européenne risquerait à nos yeux d’être moins légitime pour engager l’ensemble des citoyens européens sur la voie d’un nouveau pacte social et fiscal, et des conflits de légitimité démocratique entre élections nationales et élections européennes pourraient vite miner le projet.

Il faut maintenant agir vite. S’il est souhaitable que tous les pays de l’Union européenne rejoignent ce projet rapidement, et s’il est préférable que les quatre plus grands pays de la zone euro (qui représentent ensemble plus de 70% du PIB et de la population de la zone) l’adoptent d’emblée, l’ensemble du projet a été conçu pour qu’il puisse être juridiquement et économiquement adopté et appliqué par n’importe quel sous-ensemble de pays qui le souhaite. Le point est important, car il permet aux pays et aux mouvements politiques qui le souhaitent de démontrer leur volonté concrète d’avancer en adoptant dès maintenant ce projet, ou une forme améliorée de ce dernier. Nous appelons chacune et chacun à prendre ses responsabilités et à participer à un débat précis et constructif pour l’avenir de l’Europe.

* (C) Pétition : Ferrero : arrêtez tout travail des enfants !!

99.296 signatures sur 125.000 lien pour signer

Ferrero International S.A., son directeur exécutif, Giovanni Ferrero, et son PDG, Lapo Civiletti ; et Ferrero Hazelnut Company et Marco Gonçalves, son PDG

Notre enquête révèle que le Nutella, les Kinder Bueno et les Ferrero-Rocher contiennent probablement des noisettes récoltées par des enfants exploités en Turquie. Nous vous exhortons à mettre fin immédiatement au travail des enfants et à soutenir un prix juste et équitable des noisettes turques afin que les travailleurs perçoivent un salaire décent.

Notre enquête, publiée aujourd’hui dans le Guardian, révèle que les produits de l’entreprise Ferrero contiennent probablement des noisettes récoltées par des enfants en Turquie . Les chocolats que vous avez achetés à vos enfants pour les fêtes de fin d’année en font partie. Nutella, Kinder Bueno, Duplo ou encore Ferrero-Rocher… : la liste est longue.

Cet été, nos partenaires, le Center for Child Rights en Turquie , ont récolté des preuves vidéo qui montrent des enfants de 11 ans travaillant dans des fermes de noisetiers en Turquie. Les enfants travaillent de longues heures pour un salaire faible, dans des conditions souvent dangereuses. Beaucoup ont dû abandonner l’école. Parce que les salaires sont si bas, il est courant pour les cueilleurs de noisette d’emmener leurs enfants travailler avec eux à la ferme. Autrement, ils ne pourraient pas se payer un logement ou même se rendre dans les fermes de noisetiers.

Ferrero, l’un des premiers producteurs mondial de chocolat, fabricant du Nutella et des Ferrero-Rocher, est le premier acheteur de noisettes en Turquie, qui produit 70% des noisettes dans le monde . Alors que le Guardian vient de publier son enquête, nous pouvons démontrer que les produits de Ferrero contiennent probablement des noisettes récoltées par des enfants.

Deux producteurs de noisettes turcs confirment dans l’une de nos vidéos qu’ils doivent embaucher des enfants ; dans le cas contraire, leurs parents ne peuvent pas venir travailler dans leurs fermes. Ces mêmes producteurs affirment que Ferrero achètent leurs noisettes. Selon l’un d’eux, « 99% des noisettes de la région sont achetées par Ferrero et ici, tout le monde embauche des enfants ». Nous avons pu suivre la piste de noisettes récoltées dans l’une des fermes qui fait travailler des enfants jusqu’au négociant qui les achète. Celui-ci a ensuite confirmé par écrit au Guardian qu’il vendait des noisettes à Ferrero.

A ce jour, Ferrero ne révèle pas l’identité des exploitations agricoles qui approvisionnent ses fournisseurs, alors qu’elle s’est engagée à garantir la traçabilité de 100% de ses noisettes d’ici 2020. Mais Ferrero a admis que ce chiffre s’élevait seulement à 39% en 2018.

Ferrero affirme appliquer une "tolérance zéro" au travail des enfants ou à toute autre forme d’esclavage. « Nous sommes déterminés à prévenir et à éliminer le travail des enfants tout au long de notre chaîne d’approvisionnement, avec la conviction que chaque enfant doit être protégé, par tous les moyens possibles, contre toute forme d’exploitation. En outre, ils ont un projet qui vise à protéger les enfants contre les pires formes de travail, d’exploitation et de violence. », peut-on lire sur le site de l’entreprise.

Mais encore aujourd’hui, le travail des enfants est un phénomène largement répandu en Turquie. Pour les agriculteurs et les négociants, les initiatives de Ferrero contre le travail des enfants sont inefficaces car elles n’impliquent pas ou n’atteignent pas tous les enfants qui, chaque année, sont exploités dans les vergers de noisetiers.

La racine du problème ? Le prix que Ferrero se dit prêt à payer pour les noisettes. Les agriculteurs et les recruteurs de travailleurs saisonniers soutiennent qu’ils ne seraient pas obligés d’embaucher des enfants si le confiseur italien achetait les noisettes à leur juste prix. Ferrero doit respecter ses engagements. Les cultivateurs interviewés estiment que Ferrero peut mettre fin à toutes les formes de travail des enfants au sein de leur chaîne d’approvisionnement s’ils le veulent vraiment, à condition qu’ils paient un juste prix pour les noisettes.

Appelez Ferrero à mettre fin au travail des enfants payer et à soutenir un prix équitable pour leurs noisettes en Turquie afin que les travailleurs perçoivent un salaire décent ! En 2020, nous planifions une grande action où nous remettrons vos signatures à Ferrero afin de nous assurer que les pâtes à tartiner et les chocolats dégustés par vos enfants ne soient pas fabriqués par... des enfants

* (C) PETITION : DES CENTRES D’ACCUEIL POUR METTRE LES FEMMES SDF EN SÉCURITÉ

400.987 sur 500.000 signatures Lien pour signer

Mise à jour sur la pétition du 14 Décembre 2018
C’est gagné, la pétition part au sénat. 154 voix pour, 0 contre ! voir la vidéo

C’est gagné, grâce à toutes vos signatures notre pétition part au sénat avec des préconisations qui pourraient enfin changer réellement la situation. Ils ont demandé à ce que la cause des sans abris, soit une cause nationale ! qu’il existe, entre autre, une prévention et un numéro d’urgence avant une totale expulsion qui amène à la rue.
Pour la question des femmes, ils demandent que le gouvernement fasse une priorité et bien d’autres choses !

Vous étiez nombreux à suivre en direct mon entretien avec les membres du CESE pour effectuer un compte des préconisations. Mais si vous avez raté ce direct ou souhaitez le revoir, cliquez ici :
https://www.facebook.com/Change.orgFrance/videos/780760485591464/

Sachez que d’autres centres pour femmes sdf vont commencer à ouvrir et que la jeune femme enceinte de 24 ans qui dormait dans une tente et bien au chaud maintenant. Une autre femme qui vit dans un parking va aussi pouvoir entrer dans un des centres car je vais demander à ce qu’ils aillent la chercher aussi. Enfin, du concret et cela grâce vraiment mais vraiment....à vous tous ! un énorme merci
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Le quotidien d’une femme SDF consiste à fuir les multiples agressions dont elle est victime. Ceci n’est pas une vie.Chaque nuit elle risque de nouvelles agressions physiques et sexuelles.Une image me hante : celle de cette femme recroquevillée au dernier étage d’un parking tremblant de peur à l’idée d’être à nouveau agressée. Malheureusement nous ne la voyons pas car elle se cache pour tenter de se protéger. Pourtant les femmes SDF représentent 38 % des personnes sans domicile d’après l’Insee.

Noa (son nom a été changé) m’a confié que lorsqu’elle était SDF, elle avait été violée 70 fois en 17 ans. Sa vie était un enfer de violence.Les maraudes que je fais dans Paris m’ont permis de découvrir l’horreur de cette réalité. Un homme SDF m’a même interpellé une nuit sur leur vulnérabilité « nous on peut encaisser » il m’a dit.
La rue les prive de dignité, nous devons la leur rendre !

Monsieur le Président, vous avez fait de la cause des femmes une priorité de votre quinquennat. Les femmes SDF sont doublement vulnérables pour être femme et SDF. Nous vous demandons de mettre en place dès 2018 des centres d’accueil dédiés pour leur offrir sécurité, dignité et leur apporter l’accompagnement spécifique nécessaire pour affronter leur trauma. Parce qu’elles ne peuvent plus attendre car leur vie est en jeu, j’ai décidé de lancer une collecte GoFundMe pour rénover un hébergement d’urgence pour loger 8 femmes SDF.Maintenant, ensemble, nous pouvons les secourir en attendant que les autorités prennent la relève et leur apportent une solution permanente.

Merci à toutes et tous de participer en signant cette pétition, en donnant pour la collecte ou en diffusant à vos familles, à vos amis, à vos proches pour partager ce grand élan de solidarité. Sarah de Réchauffons nos SDF

* (E) Pétition : NON au sale marché avec l’huile de palme

276.527 signatures sur 300.000 lien pour signer

Voulons-nous faciliter l’importation d’huile de palme en Europe ? C’est un enjeu majeur de l’accord de libre-échange négocié actuellement entre l’UE et l’Indonésie. Pour ne pas aggraver la déforestation et le changement climatique, des organisations indonésiennes demandent l’exclusion de l’huile de palme de cet accord. Soutenons-les !

Afficher la lettre de pétition

Aux participants des négociations sur l’APEG entre l’Indonésie et l’UE

L’UE doit tenir compte de ses propres études climatiques et exclure en conséquence l’huile de palme de l’accord de libre-échange négocié avec l’Indonésie.L’UE négocie actuellement un accord de libre-échange avec l’Indonésie. La question de l’huile de palme domine le débat.Les groupes écologistes indonésiens craignent que l’APEG facilite le négoce d’huile de palme et aggrave la déforestation et les conflits sociaux. Ils demandent donc le retrait de l’accord de l’huile de palme. « Seuls les grands groupes profitent du libre-échange », avertit Yuyun Harmono de l’ONG WALHI. Les biocarburants génèrent plus d’émissions de gaz à effet de serre que les carburants fossiles car forêts et tourbières sont détruites au profit de plantations de palmiers à huile. Et le réchauffement climatique empire. Yuyun Harmono et d’autres défenseurs de l’environnement exigent l’arrêt des plantations de palmiers à huile.

L’Indonésie est responsable de la moitié de la production mondiale d’huile de palme. L’UE en est la principale importatrice après l’Inde. Ces dernières années, le déboisement de forêts de tourbes a été massif. Les émissions des sols tourbeux calcinés causent chaque année un désastre écologique et humanitaire. Après les incendies de forêts de 2015, le gouvernement indonésien a interdit la plantation de palmiers à huile sur des zones brûlées et sur la tourbe. L’APEG réduirait ces efforts à néant.Parallèlement aux négociations, l’UE décidera bientôt de sa politique énergétique d’ici à 2030. La persistance à recourir aux agrocarburants perpétuerait l’ère des énergies fossiles et nuirait à une politique énergétique plus écologique. Le Parlement de l’UE plaide pour une réduction des sources d’énergie issues de plantes, et notamment de l’huile de palme. L’APEG serait un pas en arrière pour la politique énergétique de l’UE. « Asimetris », le nouveau film du réalisateur indonésien Dandhy Laksono, est un témoignage frappant de la réalité de l’huile de palme.

* (E) Pétition : DITES NON à l’extraction de pétrole près du sanctuaire marin d’Abrolhos au Brésil !

1.226.675 signatures sur 1500.000 lien pour signer

Je m’appelle Tamires, je suis une militante de l’environnement et des droits des animaux. Vous ne le savez peut-être pas, mais le parc marin brésilien Abrolhos compte plus de 90 000 hectares et protège 1 300 espèces d’animaux. Il possède l’une des plus grande biodiversité marine au Brésil et dans le sud de l’océan Atlantique ! Abrolhos protège une vaste zone de récifs côtiers à Bahia et comprend un archipel. Il sert également de région de reproduction pour les baleines à bosse et offre un abri aux communautés autochtones et autres communautés traditionnelles du Brésil. Mais tout cela est menacé par le projet du gouvernement Bolsonaro d’autoriser l’exploration pétrolière le long du parc marin. L’analyse technique de l’Institut brésilien de l’environnement (IBAMA) a recommandé de ne pas explorer le pétrole dans les zones proches d’Abrolhos, comme indiqué par Associated Press. Le risque de déversement d’hydrocarbures dans les "zones de haute sensibilité" est dangereux. Mais le président de l’IBAMA, Eduardo Bim, a ignoré ces informations et autorisé la vente aux enchères.

Je suis scandalisée par cette histoire. Je sais qu’un incident avec des déversements de pétrole pourrait endommager de manière irréversible la région et détruire l’équilibre environnemental à Abrolhos. Le rôle d’IBAMA est de protéger l’environnement et le président de l’agence devrait suivre ce principe. Afin d’éviter un tel risque de catastrophe, je demande aux députés brésiliens et aux sénateurs du Congrès national d’agir pour la défense d’Abrolhos. J’adresse ma demande aux Nations Unies (ONU) et à l’Organisation des États américains (OEA), qui devraient faire pression sur le président brésilien, Jair Bolsonaro, pour qu’il renonce à ce projet. Enfin, je compte sur la justice fédérale pour exclure les sept blocs de pétrole de la vente aux enchères, car ils sont les plus proches du parc marin Abrolhos.

Il faut faire vite ! La vente aux enchères de concession pétrolière est prévue pour le 10 octobre. Le président Jair Bolsonaro, le ministre de l’Environnement, Ricardo Salles, et l’Agence brésilienne du pétrole (ANP) ne peuvent changer d’avis que par votre signature et votre pression.L’exploration du pétrole à côté d’une zone aussi importante ne devrait même pas être envisagée ! Signez si vous êtes d’accord avec la préservation du parc national des Abrolhos !